Un article du site ouest-France.fr du lundi 12 novembre 2012 :

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Aeroport-Notre-Dame-des-Landes-le-clin-d-oeil-des-Verts-a-Ifs_40771-2132120-pere-bno_filDMA.Htm

Aéroport Notre-Dame des Landes : le clin d’œil des Verts à Ifs

« En signe de solidarité avec les opposants au projet d'aéroport à Notre-Dame des Landes, près de Nantes, des militants d'Europe Écologie Les Verts ont mené une action clin d’œil hier à Ifs. Ils ont débaptisé la rue Notre-Dame des Champs pour la renommer l'espace de quelques heures rue Notre-Dame des Landes. » http://videos.ouest-france.fr/video/e20ce17fe64s.html

       Sur le panneau d'informations situé sur le parking de la forêt d'Ifs, on trouve des informations sur les arbres qui peuplent cette forêt.

1a : chênes pédonculé

1b : érables, hêtres, pins

2 : érables, merisiers, pins

3a : frênes, érables, pins

3b : merisiers, frênes, érables

4 : érables, hêtres, pins

5a : mélèzes du Japon, hêtres

5b : chênes pédonculé

6 : pins, merisiers, frênes

7a : peupliers, merisiers

7b : frênes, érables

8a : pins, frênes, érables

8b : peupliers, frênes

8c : pins

A : Grande clairière

B : Barycentre du Calvados (point moyen central du département)

C : Croisée des Amis :

        - Arbre de l’amitié Franco-britannique

        - Arbre de l’amitié Franco-allemande

        - Arbre des vingt ans de la forêt

D : Aire des activités : jeux pour enfants

I : Point d’information

P : Parking, défibrilateur

     Une promenade découverte des oiseaux de la forêt d’Ifs animée par un permanent du Groupe Ornithologique Normand s'est déroulée le samedi 10 avril 2012 à l’initiative de la ville. Voici les noms des espèces observées à cette occasion :
pouillot véloce, pinson des arbres, fauvette à tête noire, troglodyte mignon, rouge-gorge familier, mésange charbonnière, mésange bleue, mésange à longue queue, buse variable, pie bavarde, corneille noire, merle noir, pigeon ramier, goéland argenté. Il y en a d'autres, la forêt de Ifs  peut accueillir, sur un cycle annuel, une quarantaine d'espèces, soit 10% de l'avifaune normande.

D’après un article paru dans le site Interact’Ifs ; auteur : A. Gruenais.

Texte et photos extraits du site de caensavezvous.com en date du 1^er novembre 2012 :

http://www.caensavezvous.fr/?p=22269

IFS : Quand papis et mamies se mettent au graff…

« Depuis le 10 octobre, une action originale rapproche des jeunes et des personnes âgées à Ifs (Calvados) : la réalisation d’une fresque à la Résidence des Personnes Âgées Jean Jaurès, selon l’art du graff. Après avoir déterminé le support et le thème, les jeunes et les résidents élaborent ensemble les pochoirs et passent à la réalisation, bombes aérosols en main.

Une action qui créé du lien 

L’action, conduite par le Projet Jeunes municipal, est dans la continuité de celle menée depuis 2004, qui a vu la réalisation de graffs sur 11 transformateurs implantés sur la ville. « Graff dans les quartiers » – c’est son nom – a déjà permis à plus de 90 jeunes de découvrir l’activité graff. Le projet permet de créer collectivement des œuvres originales, visibles de tous et destinées à embellir le paysage urbain. Il amène une autre vision du graff, beaucoup plus artistique.

Chaque réalisation fait l’objet d’une consultation des habitants, riverains ou, dans le cas présent, résidents de la RPA. 1 129 Ifois ont ainsi été consultés par les jeunes au fil des années, afin de définir ensemble le thème des graffs et de prendre en considération leurs demandes, leurs attentes. Chaque projet favorise ainsi les échanges entre les jeunes et les habitants. Et aucune fresque réalisée n’a, jusqu’ici, été vandalisée. Pour ce « graff à la RPA », les adultes sont d’autant plus associés au projet qu’ils participent de leurs mains à sa réalisation. Et quand les papis et mamies se mettent au graff avec les jeunes, ça donne des choses étonnantes !

Un partenariat exemplaire 

« Graff dans les quartiers » est une réussite. Ifois et jeunes s’y retrouvent et des nouveaux projets pérennisent l’action. Au-delà de l’implication totale de la Ville, elle doit son existence grâce aux partenariats établis depuis le début : eRDF, pour la mise à disposition des transformateurs et l’intervention auprès des jeunes, l’association AERO pour ses compétences dans le graffiti, la CNAF, l’ACSE, le Conseil Général et la DRJSCS.»

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Article et photo extraits du site Internet de Ouest France du samedi 17 novembre 2012 :

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Avec-des-jeunes-les-papis-et-les-mamies-se-mettent-au-graff-_14341-avd-20121117-64013974_actuLocale.Htm

Avec des jeunes, les papis et les mamies se mettent au graff - Ifs

 « L'initiative

La municipalité organise régulièrement des projets qui permettent de créer du lien social entre les générations : les adhérents de la résidence pour personnes âgées Jean-Jaurès ont ainsi pu s'initier, avec des adolescents de la commune, aux techniques du graffiti.

« Quand j'ai vu que ça représentait quelque chose, par exemple l’œuvre qui montre le Mont Saint-Michel, ça m'a intéressée », explique Marguerite, une résidente de 86 ans. Pour elle comme pour Christiane, des jeunes utilisant des bombes de peinture, ça se rapportait surtout, jusqu'à ce projet qui a réuni les générations, à « des inscriptions taguées sur les murs, qui représentent souvent n'importe quoi, et parfois même des messages insultants ».

Aujourd'hui, à l'issue de cet atelier « graffiti » pendant lequel de jeunes Ifois les ont initiées puis ont réalisé des fresques en les faisant participer, elles ont évidemment changé d'avis : « C'est un art à part entière, les réalisations nous plaisent beaucoup, on va discuter avec les autres résidents pour savoir où nous allons les exposer. »

« Ils ont un esprit jeune »

Ce sont huit adolescents d'Ifs, maîtrisant bien ces techniques, encadrés par une animatrice de Projet jeunes (structure municipale pour les 11-17 ans) et deux graffeurs professionnels de l'association hérouvillaise Aéro, qui ont partagé bombes de couleurs et pochoirs avec leurs aînés(e)s.

Nathan et Quentin, élèves en classe de seconde, trouvent qu'ils ont formé une « équipe assez complémentaire, car les personnes âgées se sont occupées du pochoir et des découpages, et nous un peu plus des couleurs avec les bombes ».

Corentin, en 1ère S au lycée Rostand et « passionné par le graffiti », les trouve « cools. Ils ont un esprit jeune, sont un peu comme nous : parfois en retard, aimant les grasses matinées et puis aussi, il faut leur répéter les choses, comme les profs avec nous ! »

Du côté des pensionnaires de Jean-Jaurès, on confirme le « très bon contact avec ces jeunes qui nous expliquent bien et sont patients ». Un vernissage sera prochainement organisé.

Projet inter-générations

La Ville n'en est pas à son coup d'essai. D'une part, le « projet graffiti jeunes existe depuis 2004 » et a permis la réalisation de « fresques sur 11 transformateurs de la commune, avec l'accord d'ERDF », rappelle Mickaël Parfouru, responsable du Projet jeunes.

De plus, créer des passerelles entre les générations est « un des axes de la politique de la Ville », indique Sylvaine Baumard, maire adjointe. Tout faire pour favoriser l'échange, comme par exemple l'installation d'une « nouvelle crèche dans les locaux de l'Ehpad (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), véritable projet de vie en commun ».

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Article et photo extraits du site Ouest-France.fr du vendredi 14 décembre 2012 :

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Graffiti-a-la-maison-de-retraite-operation-reussie-_14341-avd-20121214-64199938_actuLocale.Htm

 Graffiti à la maison de retraite : opération réussie - Ifs

« L'histoire

Pas de panique... Il ne s'agit pas là d'un acte malveillant, mais du (beau) résultat d'un travail intergénérationnel qui a associé une dizaine d'adolescents du « Projet jeunes » municipal à leurs aînés de la résidence pour personnes âgées Jean-Jaurès, située à deux pas de la place Debussy.

Sous le regard professionnel et avisé d'intervenants d'Aéro (l'association hérouvillaise de « graff »), ils ont travaillé ensemble à la réalisation de plusieurs fresques. Celles-ci ont été officiellement présentées mercredi soir, en présence d'élus, des jeunes concernés et de nombreux résidents définitivement réconciliés avec ces techniques « à ne surtout pas confondre avec les tags insultants qui avaient sali les murs extérieurs il y a quelque temps ». On était donc loin de cet « épisode vécu douloureusement », au moment d'inaugurer l'exposition.

Complicité

« Ravi » de cette initiative qui a permis à deux générations de « se rencontrer et d'échanger », le maire Jean-Paul Gauchard a mis en avant la volonté de « faire de la résidence Jean-Jaurès un lieu ouvert sur les autres, sur la ville... ».

Les sourires et la complicité entrevus lors de cette soirée de vernissage résument mieux que tout discours la réussite de l'opération. « Et puis c'est sympa de revenir les voir », confient Nathan, Corentin et les autres... »

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Article et photos extraits du site ouest-France.fr du 1^er novembre 2013 :

http://www.ouest-france.fr/les-ateliers-graff-ont-reuni-les-generations-1687512

Les ateliers « graff » ont réuni les générations

« Reportage

Le graff est décidément une activité qui plaît à Ifs. Les fresques réalisées par des adolescents du Projet jeunes, sur les transformateurs ERDF, depuis plusieurs années, ont marqué les esprits et éveillé les Ifois à cet art urbain, dont la réputation est trop souvent entachée par des « réalisations » sauvages...

Les jeunes reviennent, avec plaisir, d'une année sur l'autre, pour participer à des ateliers, encadrés par des animateurs municipaux et des intervenants professionnels de l'association hérouvillaise Aéro. Et depuis l'année dernière, c'est à la RPA (Résidence des personnes âgées) Jean-Jaurès que cela s'est passé.

Décorer la résidence Jean-Jaurès

Les résidents ont été initiés aux techniques du graffiti, pour une première série de réalisations en octobre 2012, et ont souhaité continuer cette année. « On a donc organisé huit demi-journées, pendant ces vacances de la Toussaint, avec le même esprit intergénérationnel », explique Marjorie Guillemette, animatrice permanente du Projet jeunes municipal.

L'objectif, cette fois-ci, était de créer des oeuvres pour décorer les couloirs des trois étages de la résidence. Après une phase de réflexion par petits groupes, composés à part égale de jeunes et de résidents, chargés de décider des thèmes retenus, chacun a pu manipuler ciseaux, pochoirs et bombes aérosols...

« Une dizaine de jeunes de la commune et treize résidents de la RPA, assidus et motivés, ont travaillé ensemble », détaille Marjorie Guillemette. C'est-à-dire un peu plus que l'an passé à la même époque, preuve que les premières fresques, accrochées notamment au mur du réfectoire, plaisent. Qui a dit que des générations différentes ne pouvaient pas partager les mêmes goûts en matière artistique ?

Des points de vues complémentaires

« C'est une super expérience de partager ces ateliers avec des personnes âgées. On est complémentaires car ils ont un point de vue que l'on n'a pas, et inversement, note Quentin, 16 ans. Par exemple, sur un des tableaux, on voulait juste un paysage de champs autour de la chaumière bretonne, elles ont insisté pour qu'il y ait aussi une rivière alors qu'on trouvait ça trop chargé... Elles avaient raison car le résultat est vraiment bien », admet le jeune artiste.

« Avec les jeunes, on s'entend bien, on se partage le travail dans une bonne ambiance. C'est un travail de précision, avec beaucoup de découpages très fins pour réaliser les pochoirs, et nous avons aussi utilisé les bombes, raconte Arlette, pensionnaire de la résidence. C'est vraiment du travail mais le résultat vaut le coup et s'intègre bien dans la décoration de la résidence. » OF

 Les faits divers, glanés dans le journal Le Bonhomme normand qui paraissait avant-guerre, rapportent de petits larcins ou des accidents révélateurs de leur époque... 

Les archives des journaux le Bonhomme normand sont consultables sur le site : http://www.normannia.info/

 « Le 19 novembre 1865, Emile Alliot et Alfred Crevel lancent le premier numéro à 500 exemplaires du Bonhomme normand - Journal spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados. L'hebdomadaire s'inspire du Petit journal créé par Moïse Millaud à Paris en 1863, bon marché, et destiné avant tout aux couches populaires. Le Bonhomme normand, vendu 10 centimes au numéro connaît un succès grandissant. Pour la première fois, un journal pénètre largement dans les campagnes. D'abord diffusé dans le Calvados, les ventes s'étendent dans les départements limitrophes, surtout dans l'Orne où une édition particulière sera mise en place en 1869. Il est appelé à devenir le journal le plus répandu de toute la région, grâce à des tirages sans commune mesure avec ses concurrents, position qu'il conservera jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale. Paraît de novembre 1865 à mai 1944 ; Hebdomadaire ; Editeur/imprimeur : Librairie Emile Alliot à Caen ; Diffusion : Calvados, Orne, Manche. » 

Dans le Bonhomme normand du 25 avril 1884, page 3 :

« Pour entrer en jouissance immédiate : Une jolie petite propriété sise à Ifs, près Caen Lieu dit le Bout-Guesdon composée de : au rez-de-chaussée, cuisine, salle à manger et salon ; Au 1er étage, trois chambres et un cabinet ; Grenier sur le tout ; Jardin anglais; jardin potager ; Cave, caveau, écurie, buanderie ; lieux d'aisances. Le tout s'accédant par une porte cochère et entouré de murs, d'une contenance d'environ 13 ares 61 centiares et compris au cadastre sous les n° 41.41 et 42, section C. S'adresser, pour visiter, à Ifs, à Mme Antoinette Labbé, et pour avoir des renseignements et traiter, à Caen, à Me Marie greffier du canton Est, rue Vilaine, n°6. »

Dans le Bonhomme normand du 25 juillet 1884, page 2 :

« DISPARITION. — On a détaché 2 veaux dans une pièce de sainfoin à Ifs, hameau de Bras ; un des deux veaux a disparu. Signalement : rouge brun, quelques taches blanches. Prière d'en donner connaissance au sieur Hippolyte Lemanissier, à Ifs. » (…)

« LACHETÉS. — Dans la forêt de St-Gatien, un inconnu a frappé d'un coup de serpe à la tête, le cheval du sieur Caillebotte, à Touques. On nous assure qu'un fait semblable a été commis à Ifs, près Caen. »

Dans le Bonhomme normand du 15 août 1884, page 1 :

« La nommée Marie-Rosalie Lerendu, 50 ans, journalière à Ifs, a épousé en 1865 le sieur Jean-Louis Levêque, veuf de Marie-Louise-Véronique Lesueur. Levêque fut placé en 1881 au Bon-Sauveur. Peu après, la femme Levêque, n'ayant par elle-même aucune fortune, prit le nom de la première femme de son mari, pour contracter divers emprunts. L'accusation relève contre elle 18 faits de ce genre. Sous divers noms, elle contracta des emprunts et fit des opérations chez des notaires de Caen. Elle a été condamnée à 7 années de réclusion et 100 fr. d'amende, Défense : Mede Vilade. »

Dans le Bonhomme normand du 22 août 1884, page 3 :

« A louer immédiatement, à Ifs, près l'église, une maison à usage de café. S'adresser, pour visiter, à Ifs, chez M. Devinas ; pour traiter, à Caen, chez M Rouillard, rue de Bayeux, 66. »

Dans le Bonhomme normand du 19 décembre 1884, page 4 :

« Vente mobilière : A Ifs, hameau de Bras le mardi 30 décembre 1884, à midi, il sera procédé au domicile, de M. Louis Lemarinier, à la vente, pour cause de cessation de faisant valoir du mobilier mort et vif ci-après : Mobilier vif, 2 chevaux de 2 ans, 1 cheval de 6 ans, 1 vache grasse de 4 ans, 1 vache de 7 ans pleine, 1 veau d'un an, 8 porcs de lait, 1 truie. Mobilier mort Banneaux, charrette, charrues, herses, colliers, en bois et en fer, etc… - Crédit. »

 Dans le Bonhomme normand du 27 février 1885, page 4 :

« Etude de Me Lauffray, notaire a Caen, rue Ecuyère n° 44 : A vendre par adjudication à Caen étude de Me Lauffray le lundi 16 mars 1835, à midi une Maison à usage de boulangerie avec jardin sise à Ifs en face l'église ; faculté de traiter avant adjudication, s’adresser a Ifs à M. Joseph Lebreton ; à Caen à Me Lauffray, notaire. »

Dans le Bonhomme normand du 21 août 1885, page 2 :

« OBJETS TROUVÉS. — Couverts en métal, sac contenant petite somme, mouvement de pendule oublié dans un coupé, ombrelle oubliée dans un coupé, mantelet, visite de dame oubliée dans un restaurant, une vingtaine de clefs.

Mais, voilà qui est plus fort. La semaine dernière, on a trouvé à Ifs. une jument attelée à une carriole. »

Dans le Bonhomme normand du 28 août 1885, page 3 :

« A louer pour la Saint-Michel 1885, une pièce de terre en labour, dite les Hautes-Courtes-Pièces, contenant 69 ares 29 centiares, située à Ifs. S'adresser à M. Félix Lecourtois, propriétaire à Hérouvillette. »

Dans le Bonhomme normand du 25 décembre 1885, page 3 :

« Trouvé il y a environ 6 semaines un chien noir, oreilles coupées, taches de feu à deux pattes ; le réclamer chez Mme Rossignol, à Ifs, près Caen. »

Dans le Bonhomme normand du 5 novembre 1886, page 4 :

« Etude de Me Gondouin, huissier à Caen, rue de l'Eglise-Saint Julien, n°5 : Vente sur saisie de meubles à Ifs, hameau de Bras au domicile du sieur Joseph Frillay, couvreur. Le dimanche 14 novembre 1885, à 1 heure du soir. Me Gondouin procédera à la vente de : Horloge, buffet, vaisselle, verres, carafes, carafons, couverts, réchauds, cafetière, pot à tabac, vases fantaisies, armoire en chêne, tables de nuit et de toilette, glaces, flambeaux, tables de cuisine, fusil à deux coups, linges et vêtements, brouette, échelle, outils de jardinage, scies, baquets, etc… Au comptant. »