• Quelques portraits d'IFOIS/ES : Jackie, Anne-Marie, Daniel et Lydia...

    IFOIS : quelques portraits d'Ifois/esArticle et photo extraits du site de Ouest-France du 5 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/jackie-deterville-compte-35-ans-de-benevolat-au-club-de-basket-3897183

    Jackie Deterville compte 35 ans de bénévolat au club de basket

    IFOIS : quelques portraitsC'est le secret de ses trente-cinq ans de bénévolat : sur le parquet, au milieu des jeunes basketteurs du Club Basket Ifs, Jackie Deterville est dans son élément.

    « Figure du Club Basket Ifs, où il a occupé toutes les fonctions ou presque, Jackie passera, comme d'habitude, son week-end au club, des matches du samedi au loto de dimanche.

    Profil

    1980. Dirigeant de l'équipe féminine.

    De 1986 à 1996. Président du club.

    Depuis 1996. Secrétaire du club Basket Ifs.

    Jackie Deterville et le Club Basket (CB) Ifs, c'est une histoire qui dure depuis plus de trente-cinq ans. Au départ, il suit sa femme Yvette, joueuse dans l'équipe féminine. « À l'époque, le club n'en comptait qu'une seule. » C'est le début des années 80, et il va devenir, presque par hasard, le manager des filles.

    « Le coach, qui était du genre nerveux, s'est fâché avec plusieurs joueuses... Moi, je suis quelqu'un de très calme. Elles m'ont demandé de le remplacer. Depuis, j'ai dû accompagner à peu près toutes les équipes de toutes les catégories d'âge, des mini-poussins aux seniors, les filles comme les garçons ! »

    En plus d'arpenter les parquets des salles de basket, partout dans la région, il s'investit également dans le bureau, où il a successivement été « président pendant dix ans, quand on était un petit club », puis vice-président et, enfin, secrétaire depuis 1996.

    Il avoue, aujourd'hui, une certaine lassitude et ne se retrouve pas toujours dans un univers semi-professionnel qui pose la question des limites d'un club comme le CB Ifs. « L'âge avance et on se dit avec Yvette que c'est peut-être bientôt l'heure d'arrêter. On verra en fin de saison. »

    Au contact des jeunes

    Mais avant de redevenir un simple spectateur des matches des verts et blancs, il continue de se régaler au contact des jeunes. « Samedi, j'emmène les minimes à Troarn. J'ai toujours aimé m'occuper des jeunes. Les gamins savent reconnaître ce que tu fais pour eux et c'est agréable de les voir progresser au fil d'une saison. » Pas un ne manque de saluer Jackie en marge d'un entraînement ou au hasard d'une rencontre dans la rue. « Ça, c'est une belle récompense pour un bénévole. »

    Les souvenirs s'enchaînent, on en oublierait presque l'organisation du loto de dimanche.

    « On est plusieurs à s'en occuper. Le gros boulot, c'est de trouver les lots, mais on peut compter sur l'efficacité de Béatrice Desnoyers. Après, c'est juste un peu d'installation et de la présence tout l'après-midi. »

    Pas grave, les week-ends passés au service du CB Ifs, ça fait longtemps que Jackie Deterville a arrêté de les compter. » OF

    IFOIS : quelques portraits d'Ifois/esUn article et une photo extraits du site Ouest-France du 3 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/le-chant-une-histoire-de-filles-pour-anne-marie-devieilhe-3891601

    Le chant, une histoire de filles pour Anne-Marie Devieilhe

    IFOIS : quelques portraits

    Anne-Marie Devieilhe chante ce soir avec ses copines du groupe Des filles et des chansons, sur la scène de Jean-Vilar.

    « De l'école de musique d'Ifs, où ses filles ont débuté, à la scène de Jean-Vilar, où elle chante ce soir avec le groupe Des filles et des chansons, Anne-Marie Devieilhe vit sa passion du chant choral.

    Profil

    Années 90. Ses quatre filles fréquentent l'école de musique et de danse d'Ifs.

    2011. Anne-Marie Devieilhe participe à la création du groupe Des filles et des chansons.

    Dans la famille Devieilhe, je demande... la mère ! « C'est vrai qu'on entend plus souvent parler de Sabine (chanteuse lyrique, victoire de la musique classique en 2015) qui se produit d'ailleurs ce week-end au théâtre de Caen avec l'Ensemble Pygmalion », s'amuse Anne-Marie Devielhe. Avant de préciser que ses quatre filles ont découvert la musique à Ifs, où la famille s'est installée en 1989.

    L'aînée, Florence, y a appris le violon avant d'opter pour le chant. « Elle est aujourd'hui professeure à l'école de musique de Trouville et s'occupe aussi de la chorale de Dozulé. » Ses trois sœurs l'ont suivie à l'école de musique d'Ifs dans les années 90. « Élise a fait du piano, Sabine du violoncelle avant de découvrir le chant lyrique, et Blandine de la flûte traversière. Deux en ont fait leur métier, les deux autres sont restées mélomanes et continuent, en amateur. »

    Elle a toujours chanté

    Comme maman, qui se régale au sein du groupe Des filles et des chansons depuis près de quatre ans. « Depuis mon enfance, j'ai toujours participé à des chorales, sans interruption », explique la conseillère municipale (Gauche citoyenne) avant de remonter le fil de ses souvenirs musicaux. « Gamine, je chantais déjà dans des chorales en région parisienne. En classe de 3e, nous avions participé à des rencontres de chant choral entre collèges, avec, à la clé, un concert salle Pleyel à Paris, un souvenir fabuleux. »

    Elle assiste aussi à des répétitions générales, à l'opéra-comique, avec sa prof de musique. Cette passion ne l'a jamais quittée. Anne-Marie Devieilhe a participé à la chorale L'accordée à Ifs « mais aussi à Aïdéo, celle d'Hérouville ou encore au groupe Les voix-là ! » Avant l'aventure Des filles et des chansons.

    Elle ne regrette pas d'avoir répondu à l'appel de la chef de choeur Valérie Di Fazio, à l'origine du projet. « Elle a pris contact avec moi et d'autres copines qui avaient déjà chanté avec elle, en sachant qu'on n'aurait pas peur de bouger, de danser, de jouer la comédie... C'est une histoire de musique et d'amitié, on rigole bien et, en plus, ça plaît au public ! » OF

    IFOIS : quelques portraits d'Ifois/esUn article et une photo extraits du site Ouest-France du 26 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/daniel-est-un-collectionneur-passionne-dimagerie-ferroviaire-3872911

    IFOIS : quelques portraitsDaniel présente des documents uniques, parmi toute sa collection

    Daniel est un collectionneur passionné d'imagerie ferroviaire

    « Depuis cinquante ans, cet Ifois a entassé près de 3 000 trouvailles dans une pièce, chez lui. Son truc, c'est l'imagerie ferroviaire. Une passion qui ne le quitte jamais.

    Portrait

    Cinquante ans que Daniel Lalizel se passionne pour l'imagerie ferroviaire. D'où vient cette passion ? Tout commence lorsqu'il entre à La Poste. Cet Ifois est amené à côtoyer « les ambulants », à bord des trains qui sillonnent la France, afin d'acheminer le courrier. Pour Daniel, c'est la révélation : « Depuis, je recherche tout ce qui reflète la vie des chemins de fer. Des cartes postales de 1900, les vieux papiers, les coupures de presse, les affiches ou la photographie. »

    D'ailleurs, une pièce entière est consacrée chez lui à ses découvertes. Et il en est fier, Daniel. C'est un véritable petit musée qu'il s'est constitué au fil des années. Et quand on lui demande combien de documents il a en sa possession, il répond en souriant, « peut-être 2 000 ou 3 000. De toute façon, un passionné ne s'arrête jamais. Une passion, c'est pour la vie ».

    Un puits de connaissances

    Avec Daniel, chaque document raconte une histoire. Alors on s'assied, et on l'écoute. Et on est rapidement captivé par ses propos. « Les cartes postales 1900 sont des témoins privilégiés de la vie du début du XXe siècle. C'est la chaîne d'information d'aujourd'hui. Par exemple, cette carte représente une femme centenaire, et montre ce qu'était une famille à l'époque. Celle-ci, qui représente un accident ferroviaire, illustre le tamponnement qui s'est produit entre deux trains, sur la ligne Caen-Cherbourg. » Et puis au fil de la discussion, on apprend de nombreuses anecdotes. Comme l'inventeur du logo de la SNCF, Maximilien Vox, est un Normand, né à Condé-sur-Noireau. Ou bien que les premières madeleines Jeannette, étaient fabriquées à Ifs.

    Un patrimoine à partager

    Mais ce grand conservateur rêve de voir chaque individu, partager ses connaissances. Il insiste : « Il faut faire connaître, montrer ce que c'était la vie d'avant. Tout le monde possède une part de patrimoine. »

    Daniel souhaite livrer une dernière anecdote. « En 2007, avec mon épouse, j'étais au point kilométrique 193, là où s'est produit le record de vitesse du TGV. Un record qui tient toujours. » Il faudrait des heures, pour écouter Daniel tant il a d'histoires à raconter. Alors, si vous croisez sa route, lors du prochain Salon des collectionneurs à Ifs, n'hésitez pas à le rencontrer. Il vous racontera avec plaisir, l'une de ses anecdotes passionnantes. » OF

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    IFOIS : quelques portraits d'Ifois/esUn article et une photo extraits du site Ouest-France du 6 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/ifs-la-vice-presidente-des-vert-et-blanc-est-une-passionnee-3820826

    A Ifs. La vice-présidente des vert et blanc est une passionnée

    IFOIS : quelques portraits d'Ifois/esDans les coulisses comme autour des terrains, Lydia Bossé est omniprésente à l'AS Ifs dont elle est devenue cette année la vice-présidente. | Ouest France

    « Épouse et maman de joueurs, dirigeante, bénévole et cheville ouvrière du loto de dimanche, Lydia Bossé est une figure incontournable du club de football.

    Portrait 

    2006. Arrivée au club, dirigeante des débutants.2015. Vice-présidente de l’A.S. Ifs football.

    « Désolé, c’est un peu le bazar car on est mercredi, plus de 250 enfants s’entraînent aujourd’hui ! » Après avoir mis un peu d’ordre dans les corbeilles de chasubles et autres maillots aux couleurs de l’AS Ifs, Lydia Bossé arpente les terrains avec le président, Benoît Lapersonne, discutant aussi bien des matches à venir, que de l’organisation du loto, dimanche. « Je travaille de nuit, donc c’est vrai que je suis assez présente », admet la dynamique dirigeante, bientôt dix ans de bénévolat chez les vert et blanc.

    Le foot, une histoire de famille

    Son arrivée au club coïncide avec les premiers pas de son fils sur les pelouses de football. « Nous habitons à Ifs, c’était naturel de l’inscrire ici. Thomas avait 6 ans, il en a désormais 15 et joue toujours au club. » Depuis, maman a pris du grade. Successivement accompagnatrice, dirigeante et depuis cette année vice-présidente, elle reste fidèle au terrain, admettant avoir « toujours suivi les enfants. C’est intéressant de les voir progresser année après année » Par Ouest-France

    « Elect'IFS : élections régionales à Ifs 2015 »

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