Avertissement : Les faits divers ou rubrique des chiens écrasés sont un type d'événements qui ne sont classables dans aucune des rubriques qui composent habituellement un média d'actualité. Ils sont donc regroupés au sein d'une même rubrique, malgré l'absence de lien qui les unisse. Il s'agit d'événements tragiques, tels que les crimes, les accidents, les larcins énonçables en trois lignes. Sur le rapport qu'ils auraient avec d'autres thèmes d'information : « Le fait-divers fait diversion », phrase du sociologue Pierre Bourdieu et il est souvent difficile de reprendre des faits divers sans risquer de sombrer dans une forme de populisme car, souvent, les faits divers montrent une photographie d’une société exacerbée. C’est ainsi que les médias accorderaient une trop grande importance à la couverture des faits divers, en raison d'une attirance supposée du public pour ce type d'événements, et du bénéfice qui en découlerait en termes d’audience.

 Article sur le site Liberté Le Bonhomme Libre du 16 avril 2014 :

http://www.libertebonhomme.fr/2014/04/16/tentative-dhomicide-a-ifs-frappe-de-5-coups-de-couteau/

Tentative d'homicide à Ifs : frappé de 5 coups de couteau

« Il est près de deux heures du matin, dans la nuit du mardi 15 au mercredi 16 avril, quand une femme de 44 ans prévient la police. Son compagnon, âgé de 47 ans, est en sang. Il vient de recevoir cinq coups de couteau dans le flanc, l’oreille, l’arcade, ainsi que sur le cou et dans la poitrine. L’homme est depuis hospitalisé au CHU de Caen, mais ses jours ne seraient pas en danger.
L’histoire se passe à Ifs, dans une rue située non loin du bourg. Il s’agit d’une soirée très alcoolisée qui se termine dramatiquement.

2,28 g d’alcool dans le sang

Le couple avait invité un ami de 31 ans pour passer la soirée. Ce dernier sera interpellé quelques minutes après l’appel de la quadragénaire, non loin de l’habitation du couple. Il sera contrôlé avec 2,28 grammes d’alcool dans le sang.
L’enquête devra déterminer les causes de ce geste. Entendue, la dame ne se souvient de rien. Suspecté d’homicide volontaire, le trentenaire a été entendu hier, mercredi après-midi, après avoir été placé en cellule de dégrisement précédemment.
La victime, quant à elle, devrait être auditionnée ce jeudi. » LLBL

Un article sur le site Ouest France du 16 avril 2014 :

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-tentative-de-meurtre-au-terme-d-une-soiree-arrosee-2187855

Faits divers. Tentative de meurtre après une soirée arrosée, à Ifs

« Un SDF de 31 ans a été interpellé ce mercredi matin 16 avril 2014 par la police de Caen: il est soupçonné d'avoir porté 4 coups de couteau à un quadragénaire, à 'Ifs.

La soirée a été arrosée mardi 15 avril 2014 dans un logement du 19 de la rue de Bonn, à Ifs, où un couple avait invité un SDF de 31 ans. Peu après minuit, la femme a prévenu la police que son mari âgé de 47 ans venait de recevoir plusieurs coups de couteau de la part de l'invité.

2,28 g d'alcool

Le suspect a été interpellé peu après par les policiers de la Bac de Caen. Compte tenu de son imprégnation alcoolique (2,28 g), il n' a pu être immédiatement entendu. La victime qui a été atteinte au flanc, à l'oreille et à l'arcade a été dirigée sur le Chu: ses jours ne sont pas en danger. L'enquête est ouverte pour tentative de meurtre. » OF

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Un article sur le site Ouest France du 18 avril 2014 :

http://www.ouest-france.fr/incendie-ifs-une-trentaine-de-personnes-evacuees-2208288

« Incendie à Ifs. Une trentaine de personnes évacuées

Un début d'incendie s'est déclaré cette nuit vers 3 h 30 du matin dans un hôtel rue Rocquancourt à Ifs. Pas de blessés mais des clients évacués.

Un mégot de cigarette serait à l'origine du sinistre qui s'est déclaré dans une chambre du My Hôtel à Ifs. Les trois occupants de la chambre ont été hospitalisés pour des examens de contrôle, 

La trentaine de clients a pu rapidement regagner ses chambres après l'intervention des pompiers. » OF

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Un article sur le site Ouest France du 10 mais 2014 :

http://www.ouest-france.fr/il-cache-du-cannabis-dans-un-buisson-2535655

« Il cache du cannabis dans un buisson

Alors qu'ils vont être contrôlés par des policiers, deux hommes ont un comportement qui intrigue la patrouille, vers 0 h 15, dans la nuit de jeudi à vendredi, à Ifs. L'un d'eux semble avoir dissimulé un objet dans un buisson. Les fonctionnaires retrouvent un morceau de 100 g de cannabis dans la végétation. Un Caennais de nationalité géorgienne est arrêté. Âgé de 18 ans, il est convoqué au tribunal pour détention de stupéfiants. » OF

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 Un article sur le site Ouest France du 19 mai 2014 :

http://www.ouest-france.fr/incendie-dans-un-local-40-personnes-evacuees-2555794

« Incendie dans un local : 40 personnes évacuées

Un incendie s'est déclaré dans le local à vélo d'un immeuble situé au 11, rue de Normandie. Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche, vers 22 h. Quatre vélos et une motocyclette ont été détruits dans les flammes. Le temps de l'intervention des sapeurs-pompiers, les quarante personnes présentes dans l'immeuble ont été évacuées. Un homme ayant tenté de dégager sa moto a été incommodé par les fumées et transporté au CHU. Hier soir, l'origine précise de l'incendie n'était pas déterminée. » OF

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Un article extrait du site Ouest France du 5 juillet 2014 :

 http://www.ouest-france.fr/vol-de-carburant-ifs-une-personne-interpellee-2678440

Vol de carburant à Ifs. Une personne interpellée

« Vendredi soir, vers 22 h 30, la police a interpellé un homme en train de voler du carburant sur le parking d'un hôtel, à Ifs.

La technique est bien rodée. Ils percent les réservoirs des véhicules et récupèrent l'essence. C'est ce que trois personnes étaient en train de faire vendredi soir sur le parking d'un hôtel à Ifs. La police a interpellé un des voleurs. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 22 juillet 2014 : http://www.ouest-france.fr/il-veut-moins-de-bruit-il-recoit-des-coups-2717681

Il veut moins de bruit, il reçoit des coups

« Le 15 mars, un Ifois se rend chez Pascal, son voisin du rez-de-chaussée, qui fête l'anniversaire de sa fille à grand renfort de musique et de bruit : il lui demande de baisser le son. « J'ai deux jeunes enfants, ils ne pouvaient pas dormir tellement c'était fort », explique le plaignant. Il précise que Pascal est coutumier du tapage.

Il explique que c'est la fille de 22 ans qui a ouvert, et l'a insulté quand il a fait remarquer qu'ils faisaient trop de bruit. Pascal est arrivé : père et fille l'ont agressé, frappé et poursuivi dans le couloir. Pascal, 56 ans, explique que c'est son voisin qui a agressé sa fille et qu'il n'a fait que se défendre.

Pascal estime être « un voisin serviable » et assure qu'il « ne déménagera pas. » Le voisin s'est vu prescrire 15 jours d'Interruption temporaire du travail, souffrant d'une fracture du nez. « Je veux déménager, mais l'office HLM assure que c'est à eux de bouger, mais ils ne veulent pas partir ».

« De nombreux voisins sont lassés des tapages de Monsieur. La réaction a été exagérée envers la demande légitime de son voisin », estime le ministère public qui requiert quatre mois de prison avec sursis.

Me Revel est « dubitatif devant les attestations défavorables à son client, toutes effectuées après les faits. Il est apprécié de deux de ses voisines. Depuis, il a été agressé et n'a pas osé répliquer de peur de se trouver dans la même situation qu'aujourd'hui ».

Le tribunal condamne Pascal à trois mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve. Il devra suivre des soins et ne plus rencontrer son voisin, à qui il versera 1 000 € de dommages et intérêts. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 23 juillet 2014 : http://www.ouest-france.fr/degradations-dans-une-ecole-trois-enfants-interpelles-2719784

Dégradations dans une école : trois enfants interpellés

« Lundi, vers 22 h 30, trois jeunes, âgés de 12 à 14 ans, se sont introduits par effraction dans les bâtiments de l'école Jean-Vilar. Des portes ont été fracturées, une vitre brisée et un petit cabanon endommagé. Celui-ci avait aussi subi des dégâts à l'été 2013. Un riverain, témoin des faits, a averti la police nationale qui a interpellé le trio. Les enfants ont été remis à leurs parents. Selon la mairie, les dégâts sont évalués à 3 000 €. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 13 août 2014 : http://www.ouest-france.fr/surpris-dans-la-voiture-quils-ont-forcee-2759358

Surpris dans la voiture qu'ils ont forcée

« Dans la nuit de lundi à mardi, un riverain signale deux personnes dans une voiture en stationnement, impasse du Régiment-Maison-Neuve, non loin de la rue de l'Église, vers 3 h 15. Une patrouille de police intervient et surprend deux jeunes hommes dans la Fiat Punto, dont les portières ont été forcées. Âgés de 14 et 26 ans et résidant dans un campement de gens du voyage, ils ont été interpellés et conduits au commissariat. L'affaire a été transmise au parquet d'Évry, puisque le duo est originaire de l'Essonne. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 18 août 2014 : http://www.ouest-france.fr/voulant-des-nouvelles-du-chien-ils-cassent-la-porte-de-la-clinique-2767538

Voulant des nouvelles du chien, ils cassent la porte de la clinique

« Le 1er novembre 2012, Antoine dépose son chien dans une clinique vétérinaire d'Ifs après qu'il a accidentellement ingurgité de la mort-aux-rats. Inquiet, il ne cesse de harceler la clinique au téléphone mais on lui demande de cesser ses appels.

Furieux, il se rend sur place avec sa compagne Amélie. Comme on lui ferme la porte, le couple se montre très virulent et agressif. Antoine jette des pots de fleurs contre la vitre de la porte d'entrée. Ils sont interpellés.

Antoine a 2,16 g d'alcool par litre de sang. L'affaire aurait dû se régler par une composition pénale, mais le couple ne s'est jamais présenté. Le dossier arrive donc mardi devant le tribunal correctionnel de Caen.

Amélie, 28 ans, arrive à peine à parler tellement elle est « impressionnée ». Schizophrène, elle avait « arrêté son traitement la veille : je n'étais pas dans mon état normal ». Son casier est vierge. Antoine, 27 ans, qui a une seule mention pour un délit routier, met son attitude sur le compte « du stress ». « On était deux à casser la porte », affirme Amélie.

« L'agacement, l'inquiétude, le stress ne justifient pas cette attitude. S'en prendre à la clinique qui a sauvé leur animal, ça témoigne d'un manque de respect », estime l'avocat de la partie civile.

L'avocate d'Amélie note « qu'elle prend systématiquement la défense de son compagnon. Or rien ne démontre sa participation aux faits ».

Le tribunal condamne Amélie à 300 € d'amende avec sursis et Antoine à 60 jours amende à 5 €. Ils rembourseront 649, 44 € à la clinique vétérinaire. » OF

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Texte et photo extrait du site Ouest-France du 2 novembre 2014 : http://www.ouest-france.fr/fait-divers-ifs-tentative-de-braquage-dans-une-station-service-2947884

Fait divers à Ifs. Tentative de braquage dans une station-service

Les deux personnes ont été mises en fuite par l'alarme avant que la police n'intervienne. | Archives Ouest-France

« Deux personnes ont tenté de braquer la station Total Access, à Ifs, près de Caen, samedi, vers 22 h. Elles ont pris la fuite après que l'employé a déclenché l'alarme.

      L'attaque à main armée a échoué. Samedi, vers 22 h, deux personnes, en possession d'une arme de poing, se présentent à la station-service Total Access, à Ifs, aux portes de Caen. La porte d'entrée principale par laquelle ils tentent d'accéder à la boutique est fermée à clé. L'employé, qui se trouve à l'intérieur, repère les deux braqueurs. Il déclenche aussitôt l'alarme, qui a mis en fuite les deux protagonistes. » OF

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Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 12 février 2015 : http://www.ouest-france.fr/fete-du-velo-un-acte-de-vandalisme-lache-et-cible-3187566

Fête du vélo, « un acte de vandalisme lâche et ciblé »

« Trois questions à...

Michel Joly, président du Team joly vélo sport, organisateur de la Fête du vélo.

Que sont devenues les banderoles annonçant la Fête du vélo ?

Nous déplorons le vol de quatre grandes banderoles dans la nuit de dimanche à lundi.

Un acte de vandalisme lâche et ciblé, puisqu'elles ont été arrachées et visiblement taillées avec un cutter.

Elles se trouvaient sur le rond-point situé à la sortie de l'hypermarché Leclerc et sur celui de Jean-Vilar. Une de ces bâches appartenait à notre sponsor Super U, qui a porté plainte, comme nous, dès lundi auprès de la police.

Nous sommes touchés, en terme de communication tout d'abord, mais aussi financièrement, car il y en a pour plusieurs centaines d'euros.

Quel est votre état d'esprit à dix jours de l'événement ?

C'est navrant mais nous ne sommes pas du tout abattus. Le moral reste au beau fixe à dix jours de l'épreuve. S'ils cherchaient à nous démoraliser : c'est raté ! J'ai fait refaire nos deux banderoles, même si l'assurance ne prend en charge qu'environ la moitié du préjudice. On sera prêts à accueillir les passionnés de vélo.

Vous employez le pronom « ils », visez-vous quelqu'un ?

Les caméras de surveillance vont peut-être le dire... Je ne suis pas issu du milieu du cyclisme, et malheureusement, la réussite du club fait des jaloux, surtout depuis que j'ai pris position sur certains sujets qui restent malheureusement d'actualité dans le monde du vélo.

Nous sommes victimes d'un véritable harcèlement puisque, les années précédentes, c'est notre fléchage des parcours qui avait été visé, pour mettre en cause l'organisation. » OF

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Un article extrait du site Ouest France du 28 février 2015 : http://www.ouest-france.fr/linvite-donne-dix-coups-de-couteau-son-hote-prison-3221628

 L'invité donne dix coups de couteau à son hôte : prison

     "Dans la nuit du 15 au 16 avril 2014, la police est appelée à Ifs et découvre un homme au sol, la tête qui baigne dans son sang. Sa compagne, qui a composé le 17, indique que l'auteur de l'agression est leur invité, qui a précipitamment quitté les lieux. Ils se sont disputés, mais elle n'a pas assisté à l'altercation. Tout le monde a énormément bu et se trouve bien en peine d'expliquer l'enchaînement des faits ou leur raison précise.

Adrien Le Boucher est interpellé dans les environs. Il soutient que c'est son hôte qui l'a attaqué, qu'il lui a pris le couteau et qu'il a riposté pour se défendre. « Je lui ai donné deux coups au flanc, je voulais lui faire mal », dit-il en garde à vue. Le couteau n'est pas retrouvé. La victime est hospitalisée avec quinze jours d'Interruption temporaire de travail (ITT) et une dizaine de coups de couteau sur la tête et le haut du corps. Sa trachée-artère doit être suturée.

Adrien Le Boucher, qui a déjà un casier judiciaire comportant des violences avec arme, est placé en détention. Il a été jugé mardi, par le tribunal correctionnel. « J'ai dû agir par peur, maintient l'homme de 31 ans. Je voulais partir et il m'a attaqué », à la suite d'une dispute. Le président, Christophe Subts, détaille les dix blessures, « et autant de coups reçus ». Adrien, lui, n'a pas de blessure.

La victime, présente à l'audience, ne garde aucun souvenir. Il avait connu Adrien un mois avant les faits, et vu leur passion commune pour l'art, l'avait invité chez lui pour lui montrer ses toiles. Avant d'arriver chez la victime, ils ont passé l'après-midi à boire et ont continué durant la soirée. Me Minot indique que « même si c'était vrai, la riposte est disproportionnée. Mon client a de la chance d'être là ».

Pour le procureur, Cyrille Fournier, « la thèse de la légitime défense ne tient pas, d'autant que juste après, il appelle sa compagne en lui disant : j'ai fait une connerie, j'ai peut-être tué un mec ». Il requiert cinq ans de prison.

Me Barakat plaide la légitime défense. La victime « est réputée dans le voisinage pour être régulièrement ivre et avoir des comportements anormaux envers sa compagne. Il n'est pas illusoire de penser que mon client a pu se croire en danger imminent. »

Adrien Le Boucher est condamné à cinq ans de prison avec maintien en détention, dont un an avec sursis et mise à l'épreuve. Il devra de se soigner, travailler, ne plus porter d'arme et indemniser la victime qu'il n'a plus le droit de contacter. » OF

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Article extrait du site de Tendance Ouest du 08 mars 2015 - par T.V : http://www.tendanceouest.com/actualite-96888-violent-accident-sur-peripherique-caennais-a-ifs-deux-jeunes-hommes-grievement-blesses.html

Violent accident sur le périphérique caennais à Ifs : Deux jeunes hommes grièvement blessés

« Deux jeunes hommes très grièvement blessés dans un accident de la route sur le périphérique de Caen dimanche matin. Un accident de voiture, ce dimanche matin, vers 07h45,sur le périphérique extérieur de Caen au niveau de Ifs, une violente sortie de route.

3 jeunes sont blessés, dont deux garçons âgés de 19 et 20 ans. Très grièvement blessés, dont un dans un état jugé critique, ils ont été évacués vers le CHU de Caen, une jeune fille, âgée de 18 ans, a également été blessée plus légèrement. Les jeunes rentraient d'une soirée passée en boîte de nuit dans la Manche. » TO

 

Le rond-point bleu ; photo extrait du site Ouest France  Archives / Jean Yves Desfoux

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Article extrait du site de Normandie Actu du 12 mars 2015 : http://www.normandie-actu.fr/pieton-contre-camion-sur-le-peripherique-de-caen-un-mort-la-route-coupee_117122/

Piéton contre camion, sur le périphérique de Caen : un mort, route coupée

Un homme est décédé, jeudi 12 mars 2015, dans une collision avec un piéton, sur le périphérique de Caen (Calvados).

     « L'axe a été fermé entre Fleury-sur-Orne et la porte d'Espagne. La collision s’est produite peu avant 18h, jeudi 12 mars 2015, sur le périphérique de Caen (Calvados), à Ifs. Un piéton a été percuté par un poids-lourd entre Fleury-sur-Orne et la porte d’Espagne, sur la N814. Selon les premiers éléments, l’homme, qui n’a pas encore été identifié, aurait sauté d’un pont à l’arrivée du camion. Il est décédé.
La circulation a été interrompue sur le boulevard périphérique de Caen, entre Fleury-sur-Orne et Ifs. Une dizaine de kilomètres de bouchons étaient signalés sur le périphérique extérieur, en amont de l’échangeur n°11. Il ne devrait pas rouvrir avant 19h30. » N.A. par Christophe Degand

... et un article extrait du site Tendance ouest du 12 mars 2015 - par T.V : http://www.tendanceouest.com/actualite-97420-un-homme-se-suicide-sur-peripherique-de-caen.html

Un homme se suicide sur le périphérique de Caen

     « Un homme se jette depuis un pont sur le périphérique de Caen. Il a été heurté de plein fouet par un camion. L'homme est décédé. Un homme s’est suicidé depuis le pont bleu, sur le périphérique extérieur de Caen, au niveau d’ Ifs ce jeudi soir, un peu avant 18h00. L’ homme âgé d’une quarantaine d’années a été percuté de plein fouet par un poids-lourd après avoir sauté. La victime est décédée. Le chauffeur du camion est indemne. Une femme âgée de 53 ans qui a assisté à la scène a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et évacuée vers le CHU de Caen en état de choc. La circulation a été fortement perturbée jusqu’à près de 20h30. » TO par T.V

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 Un article extrait de Normandie actu du 9 mai 2015 : http://www.normandie-actu.fr/normandie-en-prison-apres-avoir-cambriole-59-ecoles-et-mairies-autour-de-caen_124590/

« Normandie. En prison après avoir cambriolé 59 écoles et mairies, autour de Caen

Un homme de 31 ans a été écroué pour 59 vols par effraction commis... dans des écoles et des mairies du Calvados, entre octobre 2014 et mars 2015 ! Récit.

Sa série présumée de cambriolages dans des écoles et des mairies du Calvados aurait pris fin le soir du second tour des élections départementales. Le 29 mars 2015, à Ifs (Calvados), un homme de 31 ans – ivre sur un scooter – est interpellé par la BAC (la Brigade anti-criminalité). Dans son sac, les fonctionnaires découvrent le brouillon d’un procès verbal de dépouillement électoral, en provenance d’une mairie qui venait d’être cambriolée. L’homme, déjà condamné pour vol était sorti de prison en juin 2014. Il est placé en garde à vue.

59 plaintes

Les enquêteurs recensent les vols par effraction commis dans le département, avec l’aide des services de police et de gendarmerie. Ils ont récolté 59 plaintes déposées par des établissements scolaires et des mairies, situées dans un périmètre de 20-25 kilomètres autour de Caen, entre octobre 2014 et mars 2015.
Les forces de l’ordre perquisitionneront le domicile d’un jeune homme de 24 ans qui accueillait le cambrioleur présumé et lui aurait prêté le scooter : ils découvrionnt  des ordinateurs portables, des téléphones, des médicaments, des bouteilles, des denrées alimentaires, ainsi que des documents officiels provenant de mairies.

« Il volait tout ce qu’il pouvait »

Il volait tout ce qu’il pouvait, explique à Normandie-actu une source proche du dossier. Et pour entrer dans les établissements, il cassait des portes et des fenêtres ». Le jeune homme a été écroué à l’issue de sa garde à vue.

Considéré comme toxicomane, il aurait avoué une vingtaine de faits. Il devrait être jugé devant le tribunal correctionnel de Caen le 29 mai 2015. Le propriétaire du scooter, qui prêtait son véhicule en échange d’objets volés, sera, lui, poursuivi pour recel. » Normandie-actu - Timothée L'Angevin

SUITE...

Un article extrait du site Liberté Le Bonhomme Libre du 29 mai 2015 :http://www.libertebonhomme.fr/2015/05/29/le-cambrioleur-presume-de-59-ecoles-devant-le-tribunal/

Le cambrioleur présumé de 59 écoles devant le tribunal

« Un homme de 31 ans devait répondre de 59 vols et effractions dans des écoles de Caen et de son agglomération.

Le 30 mars, à 4 heures du matin, des policiers patrouillent dans le secteur de Ifs. Ils arrêtent le conducteur d’un scooter qui vient de tourner sans mettre son clignotant. Entre les jambes de l’homme, les policiers trouvent un grand sac contenant des objets divers et notamment des objets à l’effigie de la mairie de Saint-Aignan-de-Cramesnil. Connu des services de police, l’homme de 31 ans, au terme des recoupements effectués par la police et la gendarmerie, s’avère être impliqué dans 59 vols et tentatives, commis pour la plupart dans des mairies et des écoles. Caen, Mondeville, Colombelles, Ifs, Cormelles-le-Royal, Démouville, Louvigny, Giberville, Soliers, Garcelles-Secqueville, Saint-André-sur-Orne, Saint-Martin-de-Fontenay, May-sur-Orne, Saint-Aignan-de-Cramesnil, Bretteville-sur-Laize, Cagny, Rocquancourt, Fontenay-le-Marmion, Urville, Grainville-Langannerie, Bourguebus, Hubert-Folie, Tilly-la-campagne, Lion-sur-mer, Ouistreham, Merville-Franceville, Colleville-Montgomery et Mathieu ont reçu la visite du serial voleur.

Des enveloppes piégées

Pour arrêter ce malfaiteur, policiers et gendarmes utilisent notamment des enveloppes « piégées ». A l’intérieur, des pièces sont recouvertes d’un produit qui permet de garder longtemps une trace d’ADN. De telles pièces seront d’ailleurs retrouvées chez l’ami qui héberge Anthony.

Vol de yaourts et de barres chocolatées

L’homme comparaissait cet après-midi devant le tribunal correctionnel. Actuellement détenu à la maison d’arrêt de Caen, Anthony purge sa quatrième peine pour des faits de vol et de détention de stupéfiants. Toxicomane, le Caennais issu d’une fratrie de dix personnes semble reproduire le parcours délinquant d’un père concerné par de nombreuses condamnations. Il affirme voler notamment pour satisfaire ses besoins de drogue.

Pour autant, ses butins sont pour le moins étonnants : des barres chocolatées, des yaourts, des bricolages parfois. Mais aussi de l’argent dès qu’il en trouve, des médicaments comme du Valium destiné aux écoliers épileptiques. D’après lui «  je ne visais pas particulièrement une école ou une autre, je me promenais en campagne, je voyais une école et voilà… » Sur l’ensemble des faits qui lui sont reprochés, le prévenu en reconnaît à peine une quinzaine. Pour les autres, il nie ou affirme ne plus se souvenir : ” comment voulez-vous que je me rappelle de 60 faits ?”

” Complètement irresponsable “

A la barre, plusieurs élus se succèdent, les préjudices matériels cumulés étant importants. Pour le maire de Rocquancourt : ” il ne faut pas négliger non plus le préjudice moral. Dans ma commune, les faits se sont produits au moment des attentats de janvier. Il a fallu expliquer à 120 enfants que non, un terroriste ne s’était pas introduit dans l’école pour la vandaliser. Ce qu’a fait ce monsieur, c’est complètement irresponsable !”

Énumérant la liste ” phénoménale” des délits imputés à Anthony, Mathilde Jeffrotin, pour le Ministère public, note : ” bien sûr il ne reconnaît pas tous les faits, néanmoins des éléments comme la géolocalisation de son portable sont assez accablants.” Elle requiert à son encontre une peine de cinq ans d’emprisonnement dont 18 mois assortis d’un sursis. Elle demande aussi le mandat de dépôt.

‘” Pas de preuve irréfutable”

Pour l’avocate de la défense, M^e Marie de Goni : ” il n’y a pas toujours de preuve irréfutable pour les faits que mon client ne reconnaît pas. Un portable qui déclenche une borne, ce n’est pas la preuve que l’on a cambriolé une école.” Elle demande donc une peine plus légère. Même chose pour les demandes des parties civiles, certains préjudices moraux étant selon elle surévalués, certains préjudices matériels devant être revus à la baisse, les assurances ayant déjà remboursé une bonne partie ds dommages.

Le verdict dans cette affaire devrait être rendu en fin d’après-midi. » L-B-L

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Un article extrait du site Ouest-France du 29 mai 2015 : http://www.ouest-france.fr/vol-par-effraction-dans-une-entreprise-objectif-sud-3440037

Vol par effraction dans une entreprise à Objectif sud

« Dans la nuit de mardi à mercredi, une ou plusieurs personnes ont pénétré par effraction dans l'enceinte d'une entreprise proposant des services de location de camions frigorifiques, située dans le parc d'activités Objectif sud.

Mercredi matin, des salariés de l'entreprise ont remarqué qu'une partie du grillage situé autour de l'entreprise avait été découpée. Si rien n'a été volé dans le bâtiment, une dizaine de batteries et quatre radiateurs de véhicules, entreposés dans des bacs à l'extérieur de l'entreprise, ont été dérobés. Les voleurs n'ont, pour l'instant, pas été retrouvés.

Pour la petite histoire, il convient d'ajouter que les biens dérobés étaient usagés. » OF

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  Article extrait du site Ouest-France du 11 août 2015 : http://www.ouest-france.fr/une-benne-de-chantier-en-feu-en-pleine-nuit-3617084

Une benne de chantier en feu en pleine nuit

« Une benne de chantier, près d'une crèche en construction, a pris feu, dans la nuit de dimanche à lundi, vers 00 h 30, boulevard des Violettes. L'acte volontaire est privilégié par le commissariat. » OF

  Article extrait du site Ouest-France du 12 août 2015 : http://www.ouest-france.fr/ils-brulent-une-voiture-et-senfuient-3619069

Ils brûlent une voiture et s'enfuient

« Deux personnes ont été aperçues lundi soir à hauteur du 41, rue Jean-Vilar à Ifs, à bord d'une Citroën Xsara.

Après avoir menacé d'y mettre le feu, les deux protagonistes ont mis leur plan à exécution. Ils sont ensuite montés à bord d'une deuxième voiture, un petit monospace de couleur sombre, dans lequel les attendaient deux autres individus.

Le quatuor a pris la fuite. Une enquête est ouverte. » OF

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Article extrait du site de Ouest-France du 10 septembre 2015 :

http://www.ouest-france.fr/il-roue-de-coups-un-homme-quatre-mois-de-prison-3680120

Il roue de coups un homme : quatre mois de prison

« Le 9 juin, une rixe entre trois individus éclate à Ifs. Les raisons de cette bagarre : les trois hommes se seraient mis d'accord, quelque temps auparavant, pour travailler ensemble à Paris. Mais plusieurs jours plus tard, l'un d'entre eux repart subitement dans la région caennaise, laissant les deux autres avec toute la marchandise sur les bras.

Mickaël (nom d'emprunt), l'un des trois hommes, est jugé ce 9 septembre devant le tribunal correctionnel pour avoir roué de coups Hervé (nom d'emprunt), l'homme ayant quitté la région parisienne. La victime a eu plusieurs fractures et hématomes. Il aura une ITT (Incapacité temporaire totale) de 21 jours. Mickaël affirme qu'Hervé l'aurait menacé de le dénoncer pour « travail au noir ».

« J'étais venu pour récupérer mes affaires. Une voiture a foncé sur moi. Mickaël et son neveu m'ont tabassé », raconte la victime. La substitut du procureur demande une peine de deux mois ferme, en raison des conséquences sévères dont souffre encore la victime.

« Mon client regrette ce qu'il a fait », affirme l'avocate de Mickaël. Celui-ci est condamné à quatre mois d'emprisonnement, avec aménagements possible.

Une expertise est ordonnée afin de chiffrer le montant des dommages et intérêts. » OF

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Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 13 septembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/miss-ronde-basse-normandie-sarah-laib-sacree-miss-3684954

L’élection de Miss ronde Basse-Normandie 2015 se déroulait samedi, à Ifs, près de Caen. Sarah Laïb, la Caennaise, a raflé le titre.

 

« À 21 ans, Sarah Laïb, de Caen, a décidé d’assumer ses formes après avoir longtemps souffert du regard des autres. Elle était rayonnante après avoir reçu, samedi soir à Ifs, aux portes de Caen, le titre de Miss ronde Basse-Normandie devant onze candidates. Mais la pétillante étudiante en BTS négociation relation clients n’oublie pas que « le chemin a été long ».Ses années de collège et de lycée ont été synonymes de « moqueries et même de harcèlement ». À l’époque, « je me disais qu’être ronde, c’était une maladie contagieuse ».Sarah a donc relevé un autre challenge en se présentant à l’élection. Elle a obtenu le titre régional de Miss ronde qui lui permettra de représenter la Basse-Normandie au concours national en janvier. » OF

Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 14 septembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/200-personnes-lelection-de-miss-ronde-3688978

200 personnes à l'élection de « Miss ronde »

Les projecteurs de la salle d'ô, à Ifs plaine, éclairent Sarah Laïb, Miss ronde 2015, avec à ses côtés ses deux dauphines.

« La salle d'ô, à Ifs plaine, a accueilli samedi soir le concours de Miss ronde Basse-Normandie 2015. Tard dans la soirée, le jury a décerné ce titre à la Caennaise Sarah Laïb après avoir nommé ses trois dauphines. Mais l'essentiel était probablement ailleurs pour les 11 candidates âgées de 15 à 43 ans venues du Calvados mais aussi de la Manche et de l'Orne, bien décidées à « affronter le regard des autres pour se débarrasser des complexes. »

Après les chorégraphies et autres défilés en tenue de ville, maillot de bain, lingerie et robe de mariée, il a en effet été beaucoup question pendant les discours individuels de « confiance en soi » à retrouver. « Ce concours, c'est d'abord une victoire sur soi-même » explique ainsi Justine, une jeune Cherbourgeoise de 23 ans qui a terminé son discours en affirmant : « devant vous, ce soir, je suis une femme nouvelle et décomplexée. »

Même émotion dans la voix de Marine, 15 ans, « venue pour affronter (ses) rondeurs » et dans les mots des autres candidates. Ce concours c'est donc une Miss élue à la fin « mais surtout 11 gagnantes car chacune a vécu une superbe expérience et portera, je l'espère, un autre regard sur son corps » résume Lauryne Halbout, présidente du comité Miss ronde Basse-Normandie. » OF

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Texte et photo extraits du site Ouest-France du 23 septembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/faits-divers-une-station-service-braquee-hier-soir-ifs-3709719

Faits divers. Une station service braquée hier soir à Ifs

« La station service Total Access, située route de Caen à Ifs, a été victime d'un braquage mardi 22 septembre 2015, vers 20 h 50. Personne n'a été blessé.

Mardi 22 septembre 2015, à 20 h 50, la station-service Total Access, située route de Caen à Ifs, a été victime d'un braquage peu avant sa fermeture.

" Un homme dont le visage était dissimulé par une chapka et un bandeau a menacé l'employé de 25 ans avec un revolver. Il a exigé la caisse, qu'il s'est fait remettre. Il a aussi demandé une bouteille de whisky avant de repartir à pied ", précisent les policiers.

Le butin du voleur s'élèverait à quelques dizaines d'euros. Personne n'a été blessé. » OF

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  Article extrait de Normandie 14 Actu du 24 septembre 2015 : http://www.normandie-actu.fr/blesse-au-couteau-pres-de-caen-il-accuse-le-chat-un-couple-en-garde-a-vue_157466/

Blessé au couteau, près de Caen, il accuse le chat. Un couple en garde à vue

« Un couple d'une trentaine d'années, d'Ifs, près de Caen (Calvados), a été placé en garde à vue dans la soirée du mercredi 23 septembre 2015. L’homme aurait reçu un coup de couteau.

Mercredi 23 septembre 2015, vers 22h, la police intervient dans une maison, à Ifs, près de Caen (Calvados). Des voisins auraient donné l’alerte, après avoir entendu une violente dispute. Sur place, la police découvre de nombreuses traces de sang, et du mobilier en désordre. L’homme, âgé de 30 ans, présente une blessure profonde au mollet. La femme, 35 ans, une ecchymose au visage.

L’homme accuse le chat !

Devant les policiers, l’homme expliquera que sa blessure au mollet a été provoquée par une griffure du chat ! Mais pour la Direction départementale de la sécurité publique du Calvados (DDSP), « il s’agit plus probablement d’un coup de couteau ».
La femme sera placée en garde à vue « pour violences avec arme », à 22h, au commissariat de Caen. Son compagnon la rejoindra quelques heures plus tard, vers minuit, pour « violences sur concubin ». N14A

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Un article extrait du site Ouest-France du 26 septembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/faits-divers-ifs-un-homme-blesse-par-balle-3718541

 « Un homme a été blessé par balle dans la nuit de vendredi à samedi, à Ifs, près de Caen. L'auteur présumé du ou des coups de feu a été interpellé ce samedi après-midi.

Un homme a été blessé par balle à l’épaule dans la nuit de vendredi à samedi, à Ifs, commune de l’agglomération caennaise. Il se serait fait tirer dessus par l’un de ses voisins, qui aurait ensuite pris la fuite. L'auteur présumé du ou des coups de feu a été interpellé par la police ce samedi 26 septembre et placé en garde à vue. Les jours de la victime, toujours hospitalisée, ne sont pas en danger selon le parquet de Caen. » OF

 

Un article extrait du site Ouest-France du 28 septembre 2015 ; http://www.ouest-france.fr/justice-caen-blesse-par-balle-ifs-4-ans-de-prison-pour-le-tireur-3724000

Justice à Caen. Blessé par balle à Ifs : 4 ans de prison pour le tireur

« Un homme a été blessé par balle à Ifs, dans la nuit de vendredi à samedi. Le tireur, un homme de 53 ans, a été condamné à 4 ans de prison, dont deux avec sursis.

Un homme de 53 ans a été jugé en comparution immédiate (justice rapide), ce lundi 28 septembre, à Caen. Il a comparu pour avoir tiré avec une arme à feu, un Mauser 7,5 mm, datant de la Seconde Guerre mondiale, sur le porche d’entrée de l’un de ses voisins. Le tireur n’a pas supporté que son voisin et sa famille, rentrés chez eux, à Ifs, près de Caen, vers 4 h, dans la nuit de vendredi à samedi, fassent trop de bruit.

Graves blessures

La balle atteint le voisin en contrebas à l’épaule. La balle ricoche contre ses os, lui casse une côte et reste dans son corps après avoir transpercé le poumon gauche.

Voyant un attroupement, l'homme s’éclipse discrètement de l’immeuble et va trouver refuge chez un ami. Avant d’être interpellé le samedi.

Jugé pour violence volontaire avec arme, le prévenu a été condamné à quatre ans de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve, et mandat de dépôt. » OF

Un article extrait du site Ouest-france du 29 septembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/blesse-par-balle-quatre-ans-de-prison-pour-le-tireur-3728442

Blessé par balle : quatre ans de prison pour le tireur

« Dans la nuit de vendredi à samedi, un couple d'une vingtaine d'années rentre à son domicile d'Ifs, avec deux de ses proches, vers 4 h.

Une femme se présente à la fenêtre du second étage et leur reproche de faire du bruit en riant. S'en suit une altercation verbale. Didier Lacroix, son compagnon de 53 ans, s'en mêle.

Il prend son Mauser 7,5 mm datant de la Seconde Guerre mondiale et tire en direction du porche d'entrée. Il touche le voisin sous l'épaule. La balle ricoche contre ses os, lui casse une côte et reste dans son corps après avoir transpercé le poumon gauche.

Voyant un attroupement, Didier Lacroix s'éclipse discrètement de l'immeuble et va trouver refuge chez un ami « pour se donner un temps de réflexion ». Il se munit d'argent et de vêtement, pour, dit-il, se rendre au commissariat. Il est finalement interpellé.

« Pour faire peur »

Il a été présenté hier, en comparution immédiate, devant le tribunal correctionnel de Caen. Me Tuleff, pour la partie civile, espère que l'affaire va repartir à l'instruction sous une qualification criminelle pour tentative de meurtre. Sa requête est rejetée par le tribunal, pour qui l'intention d'homicide n'est pas établie.

Didier Lacroix a donc été jugé pour violence volontaire avec arme. Il explique qu'il a pris l'arme « sans réfléchir, sous le coup de la colère ». Il dit ne pas s'être rappelé qu'elle était chargée à balles réelles, et avoir tiré vers le bas « pour faire peur », et en pensant « qu'ils étaient entrés. Mais le voisin est ressorti au moment où je tirais. » Il se présente également comme la victime du tapage de ses voisins.

L'ensemble du voisinage dépeint le prévenu comme causant des problèmes à tout le monde, « car il ne supporte pas le moindre bruit. Mais il en fait lui-même lors de disputes avec sa femme ». Sa femme témoigne qu'il « est impulsif et l'a déjà menacée en pointant une arme. Armes qu'il collectionne », en tant que passionné de militaria.

Le ministère public requiert cinq ans de prison dont un an avec sursis : « Ce qui frappe, c'est la disproportion entre les faits et la brouille qui en est à l'origine. Il a eu du mal à reconnaître sa responsabilité et n'a montré aucune empathie pour la victime. »

« Il reconnaît les faits et assume la responsabilité de ses actes. Il a agi par exaspération », plaide Me Stéphanie Pérol. Le tribunal condamne Didier Lacroix à quatre ans de prison, dont deux avec sursis et mise à l'épreuve, et mandat de dépôt.

Il ne devra plus se présenter à Ifs, ni recontacter la victime et ses proches, qu'il devra indemniser. » OF

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Un article extrait du site Liberté-Le-Bonhomme-Libre du 5 octobre 2015 : http://www.libertebonhomme.fr/2015/10/05/deux-ans-de-prison-pour-quatre-cambriolages-dans-son-quartier/

Deux ans de prison pour quatre cambriolages dans son quartier

 « Tony et Gilles, deux Caennais de 30 et 32 ans, étaient jugés vendredi par le tribunal correctionnel de Caen, pour des cambriolages à Ifs et la Guérinière.

 Ils étaient soupçonnés d’un cambriolage au kebab « Istanbul », à Ifs, dans la nuit du 25 au 26 avril 2015. Tony devait également répondre de trois autres cambriolages dans le même quartier : le presbytère de la paroisse Notre-Dame-de-la-Plaine à Ifs, le centre de loisirs « Horizon Jeunesse », à la Guérinière, durant le week-end des 14 et 15 mai, et la boulangerie « La tarte d’or », à Ifs, au mois de juin.

Tony a reconnu sans problème être l’auteur de trois cambriolages en question. Au domicile du prêtre, il a dérobé un téléviseur, des matelas gonflables, 25 bouteilles de vin, une guitare, mais aussi deux rasoirs, une tondeuse, une valise de messe et une trottinette ! Son ADN a été retrouvé en divers endroits de l’habitation, et il avait donné la trottinette, porteuse d’un numéro de série, à un enfant de son quartier… Chez le boulanger, Tony a effectué pas moins de quatre visites pendant que le commerçant était en vacances. Il est clairement identifiable sur les images de vidéo-surveillance, et, la dernière fois, il est tombé nez-à-nez avec le boulanger, rentré de congés. L’ADN de Tony a aussi été retrouvé sur une clé à mollette et un tournevis découverts sur un bureau du centre de loisirs « Horizon Jeunesse », où un écran de télé, un téléphone portable et un disque dur externe ont été dérobés. Tony connaissait bien les lieux pour l’avoir fréquenté dans sa jeunesse. Sa mère y donne aussi, bénévolement, des cours d’anglais…Une représentante d’Horizon Jeunesse a réagi à la barre du tribunal :

Je suis très déçue car Tony est un garçon que nous avons encadré

Des ADN très présents

Actuellement incarcéré pour avoir été en possession d’une Kalachnikov AK-47, Tony a en revanche nié toute implication dans le cambriolage du kebab, tout comme Gilles. À l’audience, ils ont avancé un argument pour expliquer interpellation :

On y a déjà mangé, c’est pour ça que notre ADN a été retrouvé sur place.

C’est pourtant dans des gouttes de sang situées sur le tiroir-caisse fracturé que les empreintes génétiques de deux hommes ont été repérées par la police technique et scientifique.

Carole Étienne, la procureur de la République de Caen, a requis des peines de trois et quatre ans de prison à l’encontre de Tony et Gilles, dont les casiers judiciaires comportent respectivement 11 et 28 mentions. Me Hélène Scelles, l’avocate de Tony, a relevé que son client s’était tenu tranquille depuis 2009 :

Il s’est stabilisé, il travaille régulièrement.

Me Chloé Leplatois, qui défendait les intérêts de Gilles, a quant à elle souligné que ce dernier, actuellement détenu à Angers, souhaitait « quitter Caen pour refaire sa vie ».

Ces arguments n’ont que partiellement convaincu les juges, qui ont condamné Tony à deux ans, et Gilles à 30 mois de prison. Tous deux ont été maintenus en détention. »

N.C. - LLBL

 

 Un article extrait du site Tendance Ouest du 6 octobre 2015 : http://www.tendanceouest.com/actualite-117670-vols-a-repetition-dans-agglo-caennaise-prison-ferme-pour-les-deux-prevenus.html

 

Vols à répétition dans l'agglo caennaise : prison ferme pour les deux prévenus

"Sur-adaptés en délinquance". Ce sont les paroles prononcées par le procureur de la république, vendredi 2 octobre, à l'adresse de T.C et de G.D. Les deux comparses comparaissent, ensemble, au tribunal de grande instance de Caen, pour récidives de vols avec effraction.

T.C, entre le 7 et le 8 février, cambriole avec effraction le local d'un prêtre, à Ifs, emportant, matelas, sac à dos, TV, une valise contenant le nécessaire pour célébrer la messe et… la trottinette de l'ecclésiastique ! Quelques mois plus tard, entre le 13 et le 15 mai, à Caen, il dévalise, avec dégradation, un centre de loisirs, emportant TV, matériel internet… "Connaissiez-vous ce centre ?", est-il interrogé. "Oui, j'y allais quand j'étais petit et j'aimais bien."

Toxicomanes tous les deux
L'été dernier, entre le 12 et le 26 août, profitant des vacances d'un boulanger, à Ifs, il s'introduit dans son entrepôt, emporte la somme de 400 euros, ainsi que des bonbons, sucettes… "Connaissiez-vous ce boulanger ?", lui demande-t-on à nouveau. "Oui, mais j'y allais pour acheter du pain. Au début…"

Enfin, les prévenus sont accusés, entre le 25 et 26 avril, d'avoir cambriolé avec vandalisme un kebab d'Ifs. Délit qu'ils ne reconnaissent pas, malgré la présence de leurs ADN sur les lieux. "On allait y manger… Alors, forcément…", se défendent-il. "Oui, mais pas dans les locaux privés…", leur rétorque-t-on.

Devant la justice, les deux comparses prétendent s'être connus en détention. Ils sont tous les deux dépendants à l'héroïne, la cocaïne et autres alcools forts. Pour se procurer leurs doses, ils avaient besoin d'argent.

ADN sur la kalachnikov, amnésie...
G.D, apparence tranquille, voire timide, totalise en tout neuf années de réclusion à 32 ans. Il est actuellement incarcéré à Angers pour vol avec dégradation. T.C, âgé lui de 30 ans, affiche tout au long de son procès un petit sourire. Et se joue des questions. "Votre ADN apparaît sur une kalachnikov !" "C'est parce que je l'ai touchée…" "Ah, elle passait par là et vous l'avez touchée ?" Réponse : "Oui…" Sa ligne de défense ? Une consommation excessive d'alcool lui aurait provoqué une amnésie.

G.D et T.C sont condamnés à la prison ferme : 30 mois pour l'un et deux ans pour l'autre. Le second prévenu quitte d'ailleurs la salle avec panache, demandant pardon à ses victimes (recouvrant, pour le coup, la mémoire), une main sur le cœur et ajoutant à l'intention de sa mère, présente dans la salle d'audience : "Je t'aime, Moune". » TO

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Un article extrait du site Ouest-France du 18 octobre 2015 : http://www.ouest-france.fr/le-deratiseur-volait-des-tablettes-un-de-prison-3774014

Le dératiseur volait des tablettes : un an de prison

« La direction du Leclerc d'Ifs remarque que des tablettes Ipad et Samsung ont disparu des stocks. Soupçonnant un employé d'une entreprise de dératisation, elle installe une vidéo surveillance et constate que l'employé dissimule les tablettes dans un carton vide. Quand il revient le 13 octobre, vers 17 h, le magasin appelle la police pour l'interpeller à la sortie.

Il force le passage

Malik Touati, Hérouvillais de 29 ans, à bord d'un fourgon Boxer, force la sortie malgré la présence des policiers, qui doivent faire un bond de côté pour éviter le choc. Un policier arrive à monter coté passager et doit lutter pour arrêter le fourgon. Le jeune homme tente de le repousser, mais le policier finit par le ceinturer et arrêter le véhicule.

Interpellé, il a du mal à reconnaître les faits. Son téléphone mène à son ami Sébastien, 29 ans, qui habite à Limay, dans les Yvelines. Il a en sa possession un Ipad volé par Malik Touati. Sébastien lui avait passé commande pour des tablettes et avait versé un acompte de 2 800 € par mandat cash, pour en avoir plusieurs à revendre.

Les deux amis se sont connus lors de leur engagement dans l'armée de Terre où ils ont passé cinq ans. Ils étaient jugés hier en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Caen. Malik Touati a un casier vierge, mais il est convoqué à Argentan le 8 décembre, pour répondre d'autres vols de tablettes, commis exactement selon le même procédé. Sébastien, agent de sécurité, avoue s'être « laissé tenter » et que c'est son ami qui lui a proposé les tablettes.

Malik Touati s'excuse, explique « que j'ai jamais fait de choses comme ça avant », invoque des dettes et explique « avoir paniqué » à la vue des policiers. « On peut dire que le dératiseur a été fait comme un rat. Quand l'enseigne a vu que le ver était dans le fruit, elle a appelé la police, qui a été une victime collatérale dans cette affaire de vol », expose Me Gilles Viaud, qui s'exprime pour les cinq policiers, dont quatre sont venus à l'audience.

Le ministère public requiert huit mois de prison ferme contre Malik Touati, et quatre mois avec sursis contre Sébastien. Les avocats insistent sur la personnalité des prévenus, tous deux mariés, et jeune papa pour le premier, bientôt père pour le second. « Ils n'ont pas un profil de délinquant » et ils ont un travail. Le tribunal condamne Malik Touati à un an de prison dont six mois avec sursis et mandat de dépôt, et Sébastien à six mois de prison avec sursis. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 20 octobre 2015 : http://www.ouest-france.fr/deux-incendies-et-des-degradations-avenue-jean-vilar-3784084

Deux incendies et des dégradations, avenue Jean-Vilar

« Les secours ont dû intervenir, avenue Jean-Vilar, dimanche, vers 19 h 30. Plusieurs individus avaient mis le feu à des palettes et à un chariot de supermarché, le long de la rue. Un nouveau feu est survenu, vers 21 h 30. Cette fois, deux conteneurs à poubelles ont été incendiés, sur des espaces verts. Des riverains ont vu un groupe prendre la fuite vers un immeuble voisin.

Dans le bâtiment, le lecteur de badge a été dégradé et, au sous-sol, deux extincteurs ont été vidés. Personne n'a été interpellé, mais le commissariat de Caen a ouvert une enquête. » OF

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Article extrait du site Ouest-France du 13 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/il-sexhibe-sur-son-balcon-prison-avec-sursis-3840918

Il s'exhibe sur son balcon : prison avec sursis

« Un homme de 55 ans a été jugé, jeudi, par le tribunal correctionnel pour exhibition sexuelle. Le 3 août, alors que deux femmes se promènent à Ifs, elles aperçoivent un homme sur son balcon, baisser son pantalon et exhiber son sexe en se le caressant. L'homme est coutumier des faits, il a déjà été condamné trois fois pour des délits similaires.

Les victimes diront, lors de leurs auditions, qu'il s'exhibe à chaque fois qu'il voit une femme ou une jeune fille passer dans la rue. Le prévenu est actuellement sous curatelle, l'expertise psychiatrique révèle une altération du discernement. À l'audience, peu bavard, il reconnaît les faits mais ne sait pas les expliquer.

Le procureur de la République fait remarquer que le cinquantenaire « commet les faits devant des personnes choisies ». Elle requiert une peine de six mois d'emprisonnement dont cinq avec sursis et mise à l'épreuve pour « mettre fin à cette spirale d'exhibitions sexuelles ».

« On voit bien qu'il y a un trouble qui le conduit à commettre ses actes », souligne son avocat qui demande le sursis.

L'homme a été condamné par le tribunal à six mois d'emprisonnement avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans, avec obligation de se soigner. » OF

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Un article et des photos extraits du site Ouest-France du 18 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/coups-de-feu-ifs-lors-dune-arrestation-3849478

Coups de feu à Ifs lors d'une arrestation

 

Un important dispositif, mêlant policiers et gendarmes, a été déployé sur les lieux. Le fuyard a percuté volontairement une des motos d'un policier. Le fuyard a été contraint d'abandonner son véhicule avant de prendre la fuite à pied. | Ouest-France

« Par Ouest-France :

Branle-bas de combat à Ifs, au sud de Caen, ce mercredi 18 novembre 2015. Après une course-poursuite et des coups de feu, un jeune homme a été arrêté.

Vers 11 h, ce mercredi 18 novembre 2015, à Ifs, au sud de Caen, deux motards de la police aperçoivent une voiture qui roule à vive allure sur le périphérique. Les policiers prennent en chasse la Peugeot 406, signalée volée. La course-poursuite se termine à Ifs, dans le secteur de la rue du Québec.

La voiture s'arrête dans une impasse. Derrière elle, les deux motards. Le conducteur fait marche arrière et percute l'un des deux motards. Renversé, ce dernier tire deux coups de feu en direction du véhicule.

Le conducteur, un homme de 26 ans, fait demi-tour et abandonne la voiture. À l’intérieur, les policiers découvrent une passagère. Elle est interpellée et emmenée au commissariat de police de Caen.

Le jeune homme prend la fuite, à pied, et se retranche dans le grenier d'un pavillon où il tente de mettre fin à ses jours. Arrivé sur place, le Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig) et les policiers arrêtent le jeune homme. Conscient, il a été emmené au CHU de Caen. Le véhicule à bord duquel il roulait était signalé comme volé depuis le 4 novembre.

Une enquête a été ouverte. » OF

Un article et des photos ci-dessous extraits du site Ouest-France du 19 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/rodeo-coups-de-feu-deux-interpellations-3855637

Rodéo, coups de feu, deux interpellations

Un important dispositif a été mis en place pour parvenir à interpeller le fuyard, mercredi. Il a percuté la moto d'un policier. Le rodéo du conducteur a pris fin à l'angle des rues des Bourreliers et des Carriers. Le véhicule s'est encastré dans une clôture.

« Moment de panique, hier midi, à Ifs. Un homme, roulant à bord d'une voiture volée, a tenté d'échapper aux policiers et aux gendarmes lancés à ses trousses. Il fait l'objet d'une garde à vue.

« J'étais chez moi. Tout à coup, j'ai vu un policier arriver. Il avait l'air de chercher quelqu'un. Et puis, des gendarmes sont arrivés. J'ai cru apercevoir des fusils mitrailleurs. Quand on voit cela, on pense forcément à ce qu'il s'est passé à Paris. » Il est près de 13 h, mercredi, rue du Québec. René Durand, comme d'autres riverains, tente de comprendre pourquoi autant de forces de l'ordre viennent d'être déployées à côté de chez eux. Ils peuvent être rassurés. Les scènes auxquelles ils viennent d'assister n'ont aucun lien avec le terrorisme.

Que s'est-il exactement passé pour qu'un tel dispositif soit mis en place ? Tout commence vers 11 h. « Des motocyclistes de la police ont repéré une Peugeot 406 roulant à vive allure sur le périphérique de Caen », restitue Jean-François Papineau, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP), présent sur les lieux.

Les motards prennent l'automobiliste en chasse pour l'intercepter. Mais le conducteur prend la fuite. Il quitte le périphérique à hauteur de la Porte d'Espagne et prend la direction du centre de Ifs.

Le rodéo se poursuit. Jusqu'à ce que la Peugeot se retrouve dans une impasse, rue des Bourreliers. Les deux motards, lancés à la poursuite du fuyard, s'arrêtent juste derrière le véhicule pour l'empêcher de repartir. « Mais le conducteur a effectué une marche arrière et a volontairement percuté une des motos », reprend Jean-François Papineau.

Pas de blessés

Le policier n'est pas blessé. Il tire même à deux reprises avec son arme de service en direction du véhicule, sans faire de blessés. Le collège Léopold-Sedar-Senghor, situé à quelques centaines de mètres, aurait alors reçu la consigne de pas faire sortir les élèves.

Le conducteur parvient à faire demi-tour, mais va rapidement s'encastrer dans une clôture. Il abandonne la voiture et sa passagère avec. Il prend cette fois la fuite à pied. Retourne dans le secteur de la rue du Québec. Il aurait alors tenté de s'échapper en traversant les jardins de pavillons.

« Un policier est venu frapper à notre porte, témoignent Richard et Marine, un couple domicilié rue du Québec. Il a demandé si nous n'avions pas été menacés. Il a fouillé notre maison pour s'assurer que personne d'autre ne se trouvait à l'intérieur. »

Le fuyard, 26 ans, a en fait trouvé refuge dans les combles d'une autre maison, située à quelques mètres, après avoir grimpé sur le toit. Avec le renfort d'hommes armés du Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (équivalent d'une brigade anticriminalité de la police), les policiers parviennent à rejoindre ces combles.

« Quand ils y ont pénétré, ils ont vu que l'homme recherché tentait de se suicider, indique Jean-François Papineau. Ils ont réussi à le prendre en charge. » Après avoir été examiné par des médecins du Samu, il a été transporté au CHU de Caen pour y subir des examens de contrôle.

Une fois sorti de l'hôpital, cet homme, qui roulait à bord d'une voiture signalée comme volée depuis le 4 novembre, devait être placé en garde à vue, tout comme sa passagère. Une enquête a été ouverte.

« Je tiens à souligner le sang-froid et le courage dont ont fait preuve policiers et gendarmes durant cette intervention, ajoute le DDSP. Je me réjouis de ce travail qui a été mené en partenariat. » Benoît LASCOUX - OF.

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Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 25 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/apres-le-rodeo-le-conducteur-devant-le-tribunal-3870021

Après le rodéo, le conducteur devant le tribunal

Un important dispositif avait été mis en place lors de l'intervention de la police et des gendarmes pour interpeller le fuyard. | Archives OF

« Les faits remontent au 18 novembre. Un Caennais, roulant à bord d'une voiture volée, avait tenté d'échapper aux policiers et aux gendarmes. Il a été présenté en comparution immédiate, hier.

Le 18 novembre, un Caennais, à bord d'une Peugeot 406 volée, est pris en chasse par des motards de la police, car il conduit d'une façon dangereuse. Au volant, un homme de 26 ans, sans permis et sous l'emprise des stupéfiants. Il refuse de s'arrêter. Bloqué dans une impasse, il recule et percute une des motos de police qu'il traîne sur plusieurs mètres. Il est finalement retrouvé dans sa chambre, par la police, en train d'attenter à sa vie.

« J'ai essayé de me pendre »

Après quelques jours d'hospitalisation au service psychiatrique du CHU de Caen, il est présenté en audience de comparution immédiate devant le tribunal de Caen, hier après-midi.

Il doit aussi répondre d'une série de vols dans des domiciles ou des automobiles, qui ont touché une dizaine de victimes et de recel concernant la Peugeot. « Je demande pardon envers le motocycliste. J'ai cru l'avoir tué. Je me sentais si mal que j'ai essayé de me pendre », confie le jeune homme, très ému.

Il demande un délai pour préparer sa défense. « Je ne suis pas apte psychologiquement pour parler. J'ai besoin d'être hospitalisé. La prison, c'est un lieu malsain, pire que les fourberies de Scapin, explique-t-il. J'ai fumé mon premier joint à neuf ans. Après cette semaine, c'est la première fois que je m'exprime à jeun. »

La procureure de la République, Carole Étienne, signale qu'il sortait de garde à vue le matin même, avec une convocation en justice pour des vols. Me Kian Barakat espère un supplément d'information et se pose la question « de l'abolition de son discernement. Il était sous emprise de stupéfiants et a été saisi d'une véritable crise de panique. Sa place est dans un établissement de soins. Je crains pour la vie de mon client, il cherchera les failles pour mettre fin à ses jours. »

Le tribunal décide du placement du prévenu en détention en attendant le jugement, le 26 janvier. À cette annonce, le prévenu se frappe la tête contre un banc et s'écroule, assommé, ce qui nécessite l'intervention des pompiers. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 12 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/ifs-deux-personnes-hospitalisees-apres-un-incendie-en-sous-sol-3912021

Ifs. Deux personnes hospitalisées après un incendie en sous-sol

     « Deux personnes ont été légèrement intoxiquées ce samedi par un incendie dans le garage d'une maison mitoyenne à Ifs. Elles ont été transférées au CHU de Caen.

     Un incendie s'est produit ce samedi 12 décembre 2015, à Ifs, vers 15 h 45. Le feu s'est répandu dans le sous-sol d'une maison mitoyenne, située impasse des Jacinthes. Une voiture a été brûlée et deux personnes intoxiquées d'après les secours. Elles ont été transmises aux urgences du CHU de Caen. » OF

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Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 28 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/ifs-trois-jeunes-interpelles-en-flagrant-delit-de-cambriolage-3946103

Ifs. Trois jeunes interpellés en flagrant délit de cambriolage

Les trois jeunes ont été interpellés alors qu'ils étaient encore présents dans le pavillon qu'ils étaient en train de cambrioler. | Image d'illustration.

« Il était aux alentours de 22 h 45, dimanche 27 décembre, quand les policiers de Caen se sont rendus à Ifs pour interpeller trois jeunes, en train de cambrioler une maison.

Quand les équipes du commissariat de Caen sont arrivées à Ifs, les trois jeunes, âgés de 17 à 18 ans, étaient encore dans la maison qu'ils cambriolaient.

« Il y en avait un au rez-de-chaussée et deux à l'étage », indique la police. Qui précise : « Le pavillon est inoccupé. Il appartient à une dame qui est en maison de retraite. »

Les trois jeunes devraient passer la nuit de lundi à mardi au commissariat, où ils ont été placés en garde-à-vue depuis leur arrestation. » OF