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    Afflict'IFS :     Un article extrait du site Maville Caen du 13 février 2017 : http://www.caen.maville.com/actu/actudet_-guy-bichet-avait-ete-elu-la-premiere-fois-en-1965_4-3135531_actu.Htm

    Guy Bichet avait été élu la première fois en 1965

    Afflict'IFS : Afflict'IFS : Afflict'IFS : Guy Bichet

    Guy Bichet est à l'origine des premières numérisations de la mairie

         « Guy Bichet s'est éteint jeudi 9 février, à l'âge de 88 ans.

         Engagé dans la vie politique locale depuis de nombreuses années, il était inscrit sur la liste « d'Union d'opposition ifoise », conduite par Annick Guernet, battue aux élections municipales de 2001, avant de figurer sur celle d'Eric Thomas, « Un nouvel élan pour Ifs », qui échoue également à prendre la mairie, en 2008.

         En 2014, il est élu conseiller municipal, avec la victoire de la liste « Ifs Autrement », emmenée par Michel Patard-Legendre, qui avait insisté pour que Guy Bichet intègre son équipe en tant que « sage ». Étant le doyen, il a présidé le conseil municipal d'installation. Il avait dit toute son émotion d'installer Michel Patard-Legendre qu'il savait appartenir à la droite humaniste comme lui. Et que la Ville était confiée à un homme aux grandes qualités humaines.

         Tout au long de sa vie, Guy Bichet s'était beaucoup investi dans la vie de la commune. Avec Christian Gillette, il est à l'origine de la création, en juillet 1991, du club de judo d'Ifs, dont il sera le premier trésorier. Il était également un membre très actif de l'antenne Sud de Caen, de l'Université inter-âges de Basse-Normandie.

         Grand-père et arrière-grand-père aimé et aimant, veuf depuis dix-huit mois, Ifs gardera le souvenir d'un élu proche des gens, poursuivant toujours l'intérêt général et investi pour les Ifois pendant plus de cinquante ans. » Maville Caen


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    Un article extrait du site ouest-France du 14 février 2017 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/les-bornes-electriques-sont-operationnelles-4800006

    Les bornes électriques sont opérationnelles

    Bornes à IFS

         « Des bornes de recharge accélérée, pour véhicules électriques, sont désormais disponibles sur les parkings de La Poste et de l'hôtel de ville, et à l'arrêt de tram Jean-Vilar. Elles permettent de recharger 100 km d'autonomie pour 1 h de branchement. Le coût total des installations s'élève à 30 000 €, dont 6 000 € à la charge de la commune. » OF


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  • De l'électricité dans l'air d'IFS ?Un article extrait du site Ouest-France du 7 février 2017 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/ifs-compteurs-linky-debats-electriques-au-conseil-4786349

    Ifs. Compteurs Linky : débats électriques au conseil

     

    Linky (sition ?) arrive-t-elle à IFS ?Linky (sition ?) arrive-t-elle à IFS ?

    Lundi soir, une trentaine d’habitants étaient présents pour manifester leur opposition contre le déploiement en cours des compteurs Linky dans la commune. | Ouest-France.

    De l'électricité dans l'air d'IFS ?« Une bonne partie du conseil municipal, qui s’est déroulé lundi soir, a été consacré aux compteurs Linky. Majorité et opposition ne sont pas parvenues à se mettre d’accord.

         Lundi soir, la majorité et l’opposition ont débattu sur la position à adopter par la commune, face au déploiement des compteurs Linky. À la suite des recommandations de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), préconisant d’améliorer la connaissance de ces compteurs, et pour répondre aux craintes des habitants, Michel Patard-Legendre, maire, propose « de voter un vœu demandant la suspension de leur installation ».  Ce qui n’a pas été du goût de tous les élus.

         Finalement, vingt élus ont voté le vœu pour que l’État demande à la société Enedis de suspendre le déploiement des compteurs jusqu’à ce que la Ville ait obtenu toutes les réponses aux interrogations soulevées. Onze élus ont voté contre « pour montrer leur désaccord avec un manque de détermination politique ». OF

     

      

    De l'électricité dans l'air d'IFS ?

    Un article extrait du site Liberté le Bonhomme Libre du 9 février 2017 : http://www.libertebonhomme.fr/2017/02/12/conseil-les-elus-demandent-la-suspension-du-deploiement-des-compteurs-linky-a-ifs/

    « Ifs Près de Caen, les élus demandent la suspension du déploiement des compteurs Linky

    Le conseil municipal d'Ifs a émis un vœu, lundi soir, demandant à l'Etat de suspendre le déploiement des compteurs Linky à Ifs et à Enedis de laisser la possibilité à chaque usager d'accepter ou non l'installation.

     

    De l'électricité dans l'air d'IFS ? De l'électricité dans l'air d'IFS ?

    Le conseil municipal d’Ifs cible les compteurs Linky.

    De l'électricité dans l'air d'IFS ?     Lundi soir, une trentaine de personnes avait fait le déplacement à Ifs pour un sujet : les compteurs Linky. A l’occasion de son conseil municipal, les élus ifois ont voté un vœu à cause « de toutes les interrogations autour des compteurs Linky ».

         Le 16 janvier, la Ville d’Ifs a fait part à Enedis (ex-ERDF), par courrier, de ses inquiétudes, demandant de surseoir à l’installation des compteurs des abonnements communaux dans l’attente d’une décision du conseil municipal. Parmi les inquiétudes des élus et administrés ifois : les risques sanitaires, le respect de la vie privée, l’efficacité réelle du dispositif en termes d’économie d’énergie, l’impact financier sur la facture de l’usager, la responsabilité de la municipalité en cas d’accident ou l’incertitude de prise en charge des assurances en cas de dommages matériels ou sanitaires.

    Caen et Fleury en prédécesseurs.

         En juillet dernier, le conseil municipal de Caen avait déjà émis un vœu identique, demandant plus d’informations sur les compteurs Linky et, de ce fait, la suspension du déploiement en attendant d’avoir des réponses.

         Il y a trois semaines, le 16 janvier 2017, ce sont les élus de Fleury-sur-Orne qui se sont penchés sur le sujet. Le conseil municipal fleurysien avait voté « un moratoire sur l’installation des compteurs Linky pour une durée renouvelable de six mois ».

         Elle demandait à Caen la mer, au SDEC et à Enedis « d’informer les usagers de Fleury des différentes caractéristiques de ce compteur, en répondant notamment aux problématiques soulevées par ses détracteurs ; de s’engager à ne pas exploiter directement ou indirectement les données collectées à des fins commerciales et d’offrir à l’usager la possibilité d’accepter ou non l’installation à son domicile ». En outre, Fleury-sur-Orne avait « refusé l’installation de ce type de compteurs sur les bâtiments communaux pour la même période ».

    La réponse de la Préfecture.

         Le 21 décembre 2016, le préfet du Calvados Laurent Fiscus avait répondu par courrier aux interrogations du maire de Caen. Après avoir rappelé que les compteurs Linky seront installés progressivement ces cinq prochaines années avant de devenir une obligation en 2021, le préfet a expliqué :

         « Que les usagers ont la possibilité de refuser la pose du compteur durant la période du déploiement, il ressort que ce refus aboutirait à une résiliation de contrat. Les particuliers ne peuvent, de ce fait, s’opposer à l’installation ». Il rappelle également que les collectivités territoriales « ne peuvent s’opposer au déploiement ».

         Concernant le risque sanitaire, le préfet souligne :

         Qu’une expertise a confirmé que le niveau d’ondes générées par Linky était conforme à la réglementation en vigueur. De même, le Conseil d’État a conclu que les rayonnements émis étaient conformes aux seuils réglementaires et à ceux admis par l’Organisation mondiale de la Santé ».

         Enfin, il a conclu son courrier en se reposant sur l’avis de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) de décembre 2016 : « l’avis conclut à une faible probabilité que l’exposition aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants, dans la configuration de déploiement actuelle, engendre des effets sanitaires à court et long terme ».

    A Ifs, unanimes pour avoir des comptes.

         « Il y a l’unanimité du conseil pour se poser des questions et demander des comptes à Enedis », lance Alain Gruesnais de la Gauche citoyenne.

         Sensibilisé au dossier, le conseil municipal dans son ensemble a souhaité se faire entendre : par un vœu pour la majorité, par une délibération plus engagée pour la minorité. « Votre proposition est bien, mais en votant un vœu, j’ai l’impression de ne pas aller au bout », lâche Jean-Louis Henriot du PS.

         S’appuyant sur les 300 communes ayant déjà émis un vœu en France, les élus ifois souhaitent « une réelle discussion », dénonçant « l’arrogance » et le « ton condescendant » d’Enedis. « Le niveau d’ondes de Linky est réglementaire, mais on juge ce qui est acceptable aujourd’hui, alors que le seuil pourrait baisser dans quelques années. C’est le rapport de force qui fait que ça peut changer », pense Alain Gruesnais.

         Pour Jean-Louis Henriot, « doit-on reconduire les erreurs de la téléphonie ? Aucun argument ne certifie qu’il n’y aura aucun problème. J’ai l’impression que le vœu ne nous sert qu’à nous donner bonne conscience. Il faut rester soudés avec Fleury et refuser le déploiement de ces compteurs. Cela me gêne comme élu d’acter quelque chose qui peut être dangereux ».

         N’ayant pas un « avis préconçu » sur le dossier, Michel Patard-Legendre a souhaité « se placer comme maire au sujet de la légalité d’une telle délibération (proposée par l’opposition). Je veux bien servir d’exemple, mais pas pour être attaqué par Enedis ou la préfecture ». La Gauche citoyenne pointe « un manque de détermination politique ».

         Avec 20 voix (contre 11 à la délibération portée par la minorité), le conseil municipal a ainsi émis le vœu que l’Etat, en qualité d’actionnaire d’EDF, demande à la société Enedis « de suspendre le déploiement des compteurs sur le territoire de la ville d’Ifs jusqu’à ce que la Ville ait obtenu toutes les réponses aux interrogations soulevées autour de l’installation des compteurs Linky, notamment par l’ANSES », qui « préconise d’approfondir la connaissance du fonctionnement du compteur Linky ».

         Les élus ifois ont également émis le vœu qu’Enedis se dote d’un réel dispositif de concertation et d’information à destination des usagers, qu’il n’exploitera pas directement ou indirectement les données collectées à des fins commerciales et qu’il laisse la possibilité à chaque usager d’accepter ou non l’installation de ce type de compteur sans rupture de contrat. » LBL par gregorymaucorps

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    NDB : ...et quelques sites utiles pour se faire une idée sur la question :

    Rappelons d'abord que, contrairement à ce qu'on pourrait croire, c'est la commune qui est propriétaire des compteurs...

    http://www.60millions-mag.com/2016/06/15/faut-il-avoir-peur-de-linky-10483

    http://refus.linky.gazpar.free.fr/le-doc-contre-erdf.htm

    Enfin, il existe une association nationale anti-linky dont voici l'adresse : associationnationaleantilinky@gmail.com


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  • Parc archéologik'IFS  Un article extrait du site Tendance Ouest du 3 février 2017 par Margaux Rousset : http://www.tendanceouest.com/actualite-213107-ifs-aura-son-parc-archeologique.html

     « Ifs aura son parc archéologique

    L'actuel parc à l'abandon. Les cinq nécropoles sont sous terre. - cabinet Zénobia

         La commune d'Ifs (Calvados) se lance dans un projet de parc archéologique, prévu pour le printemps 2018, c'est ce qu'a annoncé la Ville ce jeudi 2 février 2017. A l'origine de ce projet, la découverte au début des années 2000 de 5 nécropoles mégalithiques dans un parc du quartier de La Plaine.

         Quand 6 000 ans d'histoire refont surface ça donne… un parc archéologique. C'est en tout cas le projet de la commune d'Ifs (Calvados), annoncé ce jeudi 2 février 2017,  à l'horizon du printemps 2018.

    Cinq nécropoles mégalithiques dévoilées

         Cette idée est apparue à la suite d'études archéologiques faites au début des années 2000 en vue de la construction du lotissement "le Clos Chaumont" dans le quartier de La Plaine, à l'Ouest de la commune. Ces fouilles archéologiques ont révélé la présence de cinq nécropoles (groupement de sépultures ou tombes) mégalithiques (monuments constitués de pierres de grandes dimensions) datant de plus de 6 000 ans. "Nous allons mettre les moyens pour en faire un parc et surtout un projet pour le territoire, explique le maire d'Ifs, Michel Patard Legendre, c'est un équipement qui va servir aux habitants d'Ifs mais également à ceux de Fleury-sur-Orne".

    Jouer avec l'Histoire

         Avec une surface d'un peu plus d'un hectare, il y a de quoi imaginer de belles perspectives. "Ce parc est vraiment un projet qui nous tient à coeur, explique, nous ne voulons pas en faire une aire de jeux mais vraiment un endroit de rencontres et à visée pédagogique".
         C'est pour cela que la commune a fait appel à l'atelier de paysage et d'urbanisme Zenobia, basé à Caen. "Notre but est de mettre en valeur ce patrimoine et de jouer avec l'Histoire", explique Anaïs Ancellin, ingénieur paysagiste en charge du projet.

    Ecopâturage ou ateliers de bricolage?

         Un patrimoine pas du tout visible, puisque sous terre. "Nous ne savons pas encore sous quelle forme il sera mis en avant. Nous ne pouvons pas exposer ces nécropoles au risque de les altérer au fil du temps". Les ingénieurs paysagistes ont cependant des pistes vers lesquelles orienter le projet. "Nous voulons lui donner une valeur humaniste, avec un retour à la nature et surtout que ça soit un parc intergénérationnel". En effet dans le quartier de La Plaine se côtoient crèches, EHPAD, habitations et étudiants. "Ce parc doit recréer du lien social. Il doit être un lieu de vie".

         Parmi les idées avancées, celles d'en faire un écopâturage, ajouter des ateliers de bricolage ou d'art. "Rien n'est encore défini, nous prenons toutes les suggestions", ajoute Anaïs Ancellin.
    Le maire de la commune fait, lundi 6 février, une demande de subvention de 25 000 auprès de l'Etat et recherche également des fonds par le biais de fondations. "C'est un projet innovant qui va créer du dynamisme", ajoute-t-il. » TO par : Margaux Rousset


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