Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 19 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/le-team-joly-velo-sport-fete-son-vingtieme-anniversaire-3931992

Le Team Joly Vélo Sport fête son vingtième anniversaire

" Cette année, le Team Joly Vélo Sport fête ses vingt ans. Un anniversaire célébré par la Ville, qui lui a remis une récompense lors d'une cérémonie officielle.

Le bureau du club du Team Joly Vélo Sport qui a été récompensé par la Ville.

Aux origines du club

Le club a été créé en 1995, par un groupe d'amis footballeurs, à la demande de l'un d'eux, Jérôme Farcy, passionné de vélo, mais gravement malade.

Michel Joly, président du club depuis ses débuts, explique que « les premiers sponsors du club étaient les parents de Jérôme. Comme ils souhaitaient que je sois président, le nom choisi fut Team Joly Vélo Sport. Je n'ai eu d'autres choix que d'accepter. La couleur de l'entreprise Farcy, verte, était la même que les associations sportives d'Ifs. Le hasard fait bien les choses. »

Il n'oublie pas l'ensemble des bénévoles et licenciés passés au club, en particulier, Jeannot Marie, à l'origine du slogan du club, « le Team Joly, ça ne se raconte pas, ça se vit ! »

De nombreuses organisations sportives

Le Grand prix VTT de la Suisse normande, à Saint-Rémy-sur-Orne, a rassemblé, lors de sa dernière édition, 1 200 participants, venus de 45 départements.

Parmi eux, un champion du monde, des champions d'Europe et de France. « La plus grosse campagne médiatique dans l'histoire du club », souligne Michel Joly.

L'épreuve a nécessité un an de préparation. La qualité de l'organisation, qui a mobilisé 120 bénévoles et attiré 47 partenaires, lui a valu d'obtenir l'organisation du championnat de France de VTT Ufolep (Union française des œuvres laïques d'éducation physique), en 2004.

Le Team Joly, c'est aussi la Ifoise-Jeannot-Marie, célèbre rassemblement cyclotouriste. 720 participants, lors de la dernière édition, et une épreuve qui fait la fierté du club.

Un palmarès inédit

Depuis son existence, le Team Joly Vélo Sport collectionne les podiums, dont le titre de champion du Calvados sur route, en 2000.

En 2002, le club est champion régional de VTT FFC (Fédération française de cyclisme) par équipe. En 2004, un titre de champion de France sur route des 30-40 ans.

Troisième au classement général et deuxième des 20-25 ans, au championnat du monde de Duathlon, en Écosse, en 2010.

Avec 38 titres régionaux et départementaux, 320 podiums, le club possède le plus gros palmarès de l'Ufolep 14 en cyclisme. Néanmoins, le plus grand exploit, le souligne Michel Joly, « est de ne jamais avoir fait appel aux collectivités locales pour faire vivre le club. Marc Bloquet est resté notre partenaire principal depuis 20 ans ! » OF

Un article extrait du site Ouest-France du 17 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/levolution-de-lintercommunalite-federe-mais-interroge-3927009

L'évolution de l'intercommunalité fédère      mais interroge

 « L'évolution du découpage et des structures d'intercommunalités, lundi soir au conseil municipal, a provoqué une discussion de fond, entre espoirs et interrogations.

Pour la dernière séance de l'année 2016, la majorité et les deux groupes d'opposition ont débattu sereinement et se sont accordés sur des sujets aussi divers, que le développement numérique et le recours à des services civiques, les magasins ouverts le dimanche ou encore les projets de coopération internationale.

Avant de s'attarder sur l'évolution des regroupements d'intercommunalités et l'avenir de Caen-la-Mer.

Les nouvelles structures intercommunales : oui mais attention à la suite de l'adoption, à l'unanimité, du « Schéma départemental de coopération intercommunale » qui approfondit la construction de l'intercommunalité, une longue discussion débute.

La majorité comme l'opposition affirment pourtant que la fusion avec la communauté de communes Plaine sud contribuera à « la définition d'un territoire pertinent, au regard du bassin de vie correspondant à un plateau sud de l'agglomération caennaise. »

Alain Gruénais (Gauche citoyenne) juge la fusion « logique » mais s'interroge sur la cohérence et la place de ce plateau sud dans une agglomération qui privilégie plutôt le nord et ne doit « pas oublier de réfléchir à associer les habitants à ces évolutions. »

Pour Arnaud Fontaine (PS) aussi, « ces évolutions ont du sens », mais l'élu craint que ces structures de plus en plus imposantes « éloignent les centres de décision des gens... »

Face à ces questionnements, le maire rappelle que « des réunions à destination des élus sont prévues à partir du mois de janvier, pour présenter le projet de communauté urbaine. »

Ouverture des commerces le dimanche : cinq, ça suffit !

Les autres délibérations ont été adoptées tambour battant, ne faisant pas l'objet de commentaires particuliers des uns et des autres. La loi Macron prévoit la possibilité d'augmenter le nombre d'ouvertures dominicales jusqu'à douze dimanches par an ?

À Ifs, on en restera à cinq ouvertures et ça semble satisfaire tout le monde, élus comme acteurs économiques, puisque le maire a rappelé que « le directeur du centre Leclerc n'est lui non plus pas favorable à plus d'ouvertures le dimanche. »

Le conseil a également acté le recrutement d'un jeune en Service civique, à partir du mois d'avril, dans le cadre du développement numérique, ainsi que l'acquisition de terminaux de verbalisation électronique pour équiper la police municipale, en précisant que « les contrevenants continueront à trouver un papier sur leur pare-brise. »

Enfin, l'ouverture internationale est réaffirmée entre la suite du programme de coopération décentralisée avec les Macédoniens de Debar, l'accueil d'une nouvelle jeune fille en Service volontaire européen, et les prochains échanges avec l'Allemagne, en lien avec le comité des jumelages. » OF

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Un article extrait du site Ouest-France du 17 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/172-000-eu-3927008

172 000 €

« C'est la somme récemment créditée aux recettes de fonctionnement de la ville, dans le cadre de la nouvelle « aide aux maires bâtisseurs », en particulier grâce aux futurs 106 logements étudiants du Barycentre. L'AMB se base en effet sur les permis de construire accordés au premier semestre. » OF

Article et photo extraits du site de Ouest-France du 5 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/jackie-deterville-compte-35-ans-de-benevolat-au-club-de-basket-3897183

Jackie Deterville compte 35 ans de bénévolat au club de basket

C'est le secret de ses trente-cinq ans de bénévolat : sur le parquet, au milieu des jeunes basketteurs du Club Basket Ifs, Jackie Deterville est dans son élément.

« Figure du Club Basket Ifs, où il a occupé toutes les fonctions ou presque, Jackie passera, comme d'habitude, son week-end au club, des matches du samedi au loto de dimanche.

Profil

1980. Dirigeant de l'équipe féminine.

De 1986 à 1996. Président du club.

Depuis 1996. Secrétaire du club Basket Ifs.

Jackie Deterville et le Club Basket (CB) Ifs, c'est une histoire qui dure depuis plus de trente-cinq ans. Au départ, il suit sa femme Yvette, joueuse dans l'équipe féminine. « À l'époque, le club n'en comptait qu'une seule. » C'est le début des années 80, et il va devenir, presque par hasard, le manager des filles.

« Le coach, qui était du genre nerveux, s'est fâché avec plusieurs joueuses... Moi, je suis quelqu'un de très calme. Elles m'ont demandé de le remplacer. Depuis, j'ai dû accompagner à peu près toutes les équipes de toutes les catégories d'âge, des mini-poussins aux seniors, les filles comme les garçons ! »

En plus d'arpenter les parquets des salles de basket, partout dans la région, il s'investit également dans le bureau, où il a successivement été « président pendant dix ans, quand on était un petit club », puis vice-président et, enfin, secrétaire depuis 1996.

Il avoue, aujourd'hui, une certaine lassitude et ne se retrouve pas toujours dans un univers semi-professionnel qui pose la question des limites d'un club comme le CB Ifs. « L'âge avance et on se dit avec Yvette que c'est peut-être bientôt l'heure d'arrêter. On verra en fin de saison. »

Au contact des jeunes

Mais avant de redevenir un simple spectateur des matches des verts et blancs, il continue de se régaler au contact des jeunes. « Samedi, j'emmène les minimes à Troarn. J'ai toujours aimé m'occuper des jeunes. Les gamins savent reconnaître ce que tu fais pour eux et c'est agréable de les voir progresser au fil d'une saison. » Pas un ne manque de saluer Jackie en marge d'un entraînement ou au hasard d'une rencontre dans la rue. « Ça, c'est une belle récompense pour un bénévole. »

Les souvenirs s'enchaînent, on en oublierait presque l'organisation du loto de dimanche.

« On est plusieurs à s'en occuper. Le gros boulot, c'est de trouver les lots, mais on peut compter sur l'efficacité de Béatrice Desnoyers. Après, c'est juste un peu d'installation et de la présence tout l'après-midi. »

Pas grave, les week-ends passés au service du CB Ifs, ça fait longtemps que Jackie Deterville a arrêté de les compter. » OF

Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 3 décembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/le-chant-une-histoire-de-filles-pour-anne-marie-devieilhe-3891601

Le chant, une histoire de filles pour Anne-Marie Devieilhe

Anne-Marie Devieilhe chante ce soir avec ses copines du groupe Des filles et des chansons, sur la scène de Jean-Vilar.

« De l'école de musique d'Ifs, où ses filles ont débuté, à la scène de Jean-Vilar, où elle chante ce soir avec le groupe Des filles et des chansons, Anne-Marie Devieilhe vit sa passion du chant choral.

Profil

Années 90. Ses quatre filles fréquentent l'école de musique et de danse d'Ifs.

2011. Anne-Marie Devieilhe participe à la création du groupe Des filles et des chansons.

Dans la famille Devieilhe, je demande... la mère ! « C'est vrai qu'on entend plus souvent parler de Sabine (chanteuse lyrique, victoire de la musique classique en 2015) qui se produit d'ailleurs ce week-end au théâtre de Caen avec l'Ensemble Pygmalion », s'amuse Anne-Marie Devielhe. Avant de préciser que ses quatre filles ont découvert la musique à Ifs, où la famille s'est installée en 1989.

L'aînée, Florence, y a appris le violon avant d'opter pour le chant. « Elle est aujourd'hui professeure à l'école de musique de Trouville et s'occupe aussi de la chorale de Dozulé. » Ses trois sœurs l'ont suivie à l'école de musique d'Ifs dans les années 90. « Élise a fait du piano, Sabine du violoncelle avant de découvrir le chant lyrique, et Blandine de la flûte traversière. Deux en ont fait leur métier, les deux autres sont restées mélomanes et continuent, en amateur. »

Elle a toujours chanté

Comme maman, qui se régale au sein du groupe Des filles et des chansons depuis près de quatre ans. « Depuis mon enfance, j'ai toujours participé à des chorales, sans interruption », explique la conseillère municipale (Gauche citoyenne) avant de remonter le fil de ses souvenirs musicaux. « Gamine, je chantais déjà dans des chorales en région parisienne. En classe de 3e, nous avions participé à des rencontres de chant choral entre collèges, avec, à la clé, un concert salle Pleyel à Paris, un souvenir fabuleux. »

Elle assiste aussi à des répétitions générales, à l'opéra-comique, avec sa prof de musique. Cette passion ne l'a jamais quittée. Anne-Marie Devieilhe a participé à la chorale L'accordée à Ifs « mais aussi à Aïdéo, celle d'Hérouville ou encore au groupe Les voix-là ! » Avant l'aventure Des filles et des chansons.

Elle ne regrette pas d'avoir répondu à l'appel de la chef de choeur Valérie Di Fazio, à l'origine du projet. « Elle a pris contact avec moi et d'autres copines qui avaient déjà chanté avec elle, en sachant qu'on n'aurait pas peur de bouger, de danser, de jouer la comédie... C'est une histoire de musique et d'amitié, on rigole bien et, en plus, ça plaît au public ! » OF

Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 26 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/daniel-est-un-collectionneur-passionne-dimagerie-ferroviaire-3872911

Daniel présente des documents uniques, parmi toute sa collection

Daniel est un collectionneur passionné d'imagerie ferroviaire

« Depuis cinquante ans, cet Ifois a entassé près de 3 000 trouvailles dans une pièce, chez lui. Son truc, c'est l'imagerie ferroviaire. Une passion qui ne le quitte jamais.

Portrait

Cinquante ans que Daniel Lalizel se passionne pour l'imagerie ferroviaire. D'où vient cette passion ? Tout commence lorsqu'il entre à La Poste. Cet Ifois est amené à côtoyer « les ambulants », à bord des trains qui sillonnent la France, afin d'acheminer le courrier. Pour Daniel, c'est la révélation : « Depuis, je recherche tout ce qui reflète la vie des chemins de fer. Des cartes postales de 1900, les vieux papiers, les coupures de presse, les affiches ou la photographie. »

D'ailleurs, une pièce entière est consacrée chez lui à ses découvertes. Et il en est fier, Daniel. C'est un véritable petit musée qu'il s'est constitué au fil des années. Et quand on lui demande combien de documents il a en sa possession, il répond en souriant, « peut-être 2 000 ou 3 000. De toute façon, un passionné ne s'arrête jamais. Une passion, c'est pour la vie ».

Un puits de connaissances

Avec Daniel, chaque document raconte une histoire. Alors on s'assied, et on l'écoute. Et on est rapidement captivé par ses propos. « Les cartes postales 1900 sont des témoins privilégiés de la vie du début du XXe siècle. C'est la chaîne d'information d'aujourd'hui. Par exemple, cette carte représente une femme centenaire, et montre ce qu'était une famille à l'époque. Celle-ci, qui représente un accident ferroviaire, illustre le tamponnement qui s'est produit entre deux trains, sur la ligne Caen-Cherbourg. » Et puis au fil de la discussion, on apprend de nombreuses anecdotes. Comme l'inventeur du logo de la SNCF, Maximilien Vox, est un Normand, né à Condé-sur-Noireau. Ou bien que les premières madeleines Jeannette, étaient fabriquées à Ifs.

Un patrimoine à partager

Mais ce grand conservateur rêve de voir chaque individu, partager ses connaissances. Il insiste : « Il faut faire connaître, montrer ce que c'était la vie d'avant. Tout le monde possède une part de patrimoine. »

Daniel souhaite livrer une dernière anecdote. « En 2007, avec mon épouse, j'étais au point kilométrique 193, là où s'est produit le record de vitesse du TGV. Un record qui tient toujours. » Il faudrait des heures, pour écouter Daniel tant il a d'histoires à raconter. Alors, si vous croisez sa route, lors du prochain Salon des collectionneurs à Ifs, n'hésitez pas à le rencontrer. Il vous racontera avec plaisir, l'une de ses anecdotes passionnantes. » OF

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Un article et une photo extraits du site Ouest-France du 6 novembre 2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/ifs-la-vice-presidente-des-vert-et-blanc-est-une-passionnee-3820826

A Ifs. La vice-présidente des vert et blanc est une passionnée

Dans les coulisses comme autour des terrains, Lydia Bossé est omniprésente à l'AS Ifs dont elle est devenue cette année la vice-présidente. | Ouest France

« Épouse et maman de joueurs, dirigeante, bénévole et cheville ouvrière du loto de dimanche, Lydia Bossé est une figure incontournable du club de football.

Portrait 

2006. Arrivée au club, dirigeante des débutants.2015. Vice-présidente de l’A.S. Ifs football.

« Désolé, c’est un peu le bazar car on est mercredi, plus de 250 enfants s’entraînent aujourd’hui ! » Après avoir mis un peu d’ordre dans les corbeilles de chasubles et autres maillots aux couleurs de l’AS Ifs, Lydia Bossé arpente les terrains avec le président, Benoît Lapersonne, discutant aussi bien des matches à venir, que de l’organisation du loto, dimanche. « Je travaille de nuit, donc c’est vrai que je suis assez présente », admet la dynamique dirigeante, bientôt dix ans de bénévolat chez les vert et blanc.

Le foot, une histoire de famille

Son arrivée au club coïncide avec les premiers pas de son fils sur les pelouses de football. « Nous habitons à Ifs, c’était naturel de l’inscrire ici. Thomas avait 6 ans, il en a désormais 15 et joue toujours au club. » Depuis, maman a pris du grade. Successivement accompagnatrice, dirigeante et depuis cette année vice-présidente, elle reste fidèle au terrain, admettant avoir « toujours suivi les enfants. C’est intéressant de les voir progresser année après année » Par Ouest-France

 Résultats 1er tour 2015 à Ifs

    Raphaël Chauvois représentant la liste Nicolas Mayer-Rossignol :

Union de la Gauche               29,16% 998 votes                  

    Rodolphe Thomas représentant la liste Hervé Morin :

Union de la Droite                  28,28% 968 votes

    Christelle Lechevalier représentant la liste Nicolas Bay :

Front National                        17,91% 613 votes

    Caroline Amiel représentant la liste Yanic Soubien :

Europe-Ecologie-Les Verts   10,31% 353 votes

    Aurélien Guidi représentant la liste Sébastien Jumel :

Front de Gauche                      7,19% 246 votes

    Anne Boissel représentant la liste Nicolas Calbrix :

Debout la France                     3,51% 120 votes

    Pierre Casevitz représentant la liste Pascal Le Manach :

Lutte Ouvrière                          1,87% 64 votes

    Térence Domer-Marie représentant la liste Jean-Christophe Loutre :

Union populaire républicaine 0,85% 29 votes

    Florent Hérouard représentant la liste Alexandra Lecoeur :

Divers gauche                           0,93% 32 votes

Population    11 347    (Insee 2009)

Inscrits           7 525     66,32%

Abstention     3 992      53,05%

Votants          3 533      46,95%

Exprimés       3 423      45,49%

Blancs                68        1,92%

Nuls                   42         1,19%

  Les scores du premier tour dans la commune d'Ifs

     « Dans la commune d'Ifs, l'une des villes du département Calvados et de la région Normandie, les électeurs ont placé la liste N. Mayer-Rossignol (Parti socialiste et mouvement des progressistes), menée par M. Nicolas Mayer-Rossignol, en tête du premier tour des élections régionales 2015 (29.16 %). Celle-ci est suivie par la liste H. Morin (Les Républicains - Union des Démocrates et Indépendants) de M. Hervé Morin, avec 28.28% des voix et la liste N. Bay (Front national) de M. Nicolas Bay, avec 17.91%.
Dans la commune d'Ifs, les élections régionales de 2010 s'étaient soldées par l'arrivée en pôle-position de la liste Liste union de la gauche à l'issue du second tour, avec 70,32 % des voix.
En France en 2010, dans l'ensemble du pays, l'abstention était élevée puisqu'on relevait 53,7 % de non-participation au premier tour. Ce chiffre ne s'élevait qu'à 39,16 % aux précédentes régionales de 2004, six ans plus tôt. En 2010, 49,52 % des électeurs inscrits sur les listes électorales de Ifs n'avaient pas pris part au vote.
En 2011, 11 347 personnes habitaient la commune de Ifs (source INSEE), contre 4 574 en 1975 (source INSEE). A l'occasion des élections régionales 2010, 6 850 électeurs étaient inscrits en mairie. Le taux de chômage se montait alors à 12,6% de la population active (source INSEE). La moyenne en France, en 2011, était de 9,08 %. » Informations Ouest-France

Résultats 2ème tour 2015 à Ifs

Liste Union de la Gauche - Nicolas Mayer-Rossignol :   46,29% 1 949 votes

Liste Union de la Droite - Hervé Morin :                          36,41% 1 533 votes

Liste Front National - Nicolas Bay :                                 17,29%    728 votes

Population    11 347    (Insee 2009)

Inscrits           7 525     66,32%

Abstention     3 179     42,25%

Votants          4 346     57,75%

Exprimés       4 210     55,95%

Blancs                71       1,63%

Nuls                   65        1,50%

Un article extrait du site Ouest-France du 15/12/2015 : http://www.ouest-france.fr/normandie/ifs-14123/regionales-un-2e-tour-lavantage-de-la-gauche-3920989

Régionales : un 2e tour à l'avantage de la gauche

Si dimanche 6 décembre, le premier tour de scrutin avait révélé un électorat ifois partagé entre la droite et la gauche (30 voix séparaient la liste PS-PRG de Nicolas Mayer-Rossignol de celle LR-UDI-MoDem d'Hervé Morin), les résultats du 2e tour sont nettement plus tranchés. Dimanche, la liste d'union de la gauche l'a emporté plus nettement, avec 1 949 voix, soit 46,29 % des 4 210 suffrages exprimés. Des électeurs davantage mobilisés : 3 423 suffrages exprimés avaient été enregistrés la semaine précédente.

La liste d'Hervé Morin arrive en 2e position, avec 1 522 bulletins, soit 36,41 % des voix. Sur les sept bureaux de vote de la ville, elle n'est en tête qu'au bureau 5 (Marie-Curie), de dix voix sur la liste du candidat de gauche. Cette dernière l'emporte dans les six autres, avec des écarts plus conséquents.

Du côté du FN, peu de changement : si elle a engrangé dimanche 115 voix de plus qu'au premier tour, la liste de Nicolas Bay représente quasiment la même proportion de l'électorat (17,29 % des voix avant-hier, contre 17,91 % dimanche dernier).

Par rapport au second tour de 2010, la droite républicaine progresse néanmoins : voici cinq ans, la liste UMP de Jean-François Le Grand avait réuni 29,68 % des suffrages, contre 70,32 % pour la candidature PS de Laurent Beauvais. » Nathalie LECORNU-BAERT. - OF