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  • Attract'IFSUn nouveau marché à Ifs le vendredi matin

    Article trouvé sur caensavezvous en date du 15 octobre 2012 : http://www.caensavezvous.fr/?p=21774

     « Un marché hebdomadaire a lieu déjà à Ifs Bourg le mercredi matin. Les améliorations apportées au cadre de vie du cœur de quartier d’Ifs Plaine permettent désormais de créer un second marché hebdomadaire, dans cette partie sud (sic) de la ville. Cette initiative a recueilli l’intérêt de nombreux habitants, qui ont répondu au questionnaire du Comité Consultatif d’Ifs Plaine, en février dernier. Le vendredi matin a été le moment retenu ; des commerces alimentaires ont été prioritairement sollicités. Cette offre viendra compléter et renforcer l’offre commerçante qui existe ici : boucherie, tabac, presse, pharmacie, coiffure, esthétique.

    Deux commerçants seront présents pour le moment et proposeront des fruits et légumes, ainsi que des produits de la mer. Pour le lancement, vendredi 19 octobre, la Ville a prévu une animation en fin de matinée. Mais pour que ce marché vive réellement et se développe, l’implication durable des habitants est espérée. La Ville souhaite ainsi que d’autres commerçants rejoindront ce nouveau marché.

    Pratique : 

    Quand ? chaque vendredi matin 

    Quelle heure ? de 8h à 13h 

    Où ? Place des Jonquilles, à Ifs Plaine »

     

    Attract'IFS

     

    À Ifs Plaine, le marché des Jonquilles est né !

    Un marché hebdomadaire vient d’être lancé à Ifs Plaine, tout près de Caen, sur la place des Jonquilles.

    Article et photo publiés le 26/10/2012 par marjoriejanetaud sur www.cotecaen.fr :

    http://www.cotecaen.fr/19755/a-ifs-plaine-le-marche-des-jonquilles-est-ne/

    Attract'IFS

     « Tous les vendredis, un nouveau marché prend ses quartiers sur la place des Jonquilles, à Ifs Plaine. Un secteur dont la Ville termine actuellement les travaux de requalification, qui visent à conforter son rôle de « cœur de quartier ».

    Les deux commerçants, fruits et légumes et produits de la mer sont les pionniers de ce nouveau rendez-vous. Ils complètent l’offre existante commerçante de la place, qui regroupe boucherie, tabac-presse, pharmacie, coiffure et esthétique.

    Le conseil municipal devrait adopter un règlement lors d’une prochaine séance, afin d’accueillir d’autres commerçants et assurer au « marché des Jonquilles » une vocation principalement alimentaire, ce qui est attendu par les habitants.

    Pratique. Marché le vendredi matin, de 8h à 13h, place des Jonquilles, à Ifs. »

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    Article et photo extraits du site Ouest-France.fr du samedi 1er décembre 2012 :

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Depuis-octobre-un-marche-colore-la-place-des-Jonquilles-_14341-avd-20121201-64110302_actuLocale.Htm

    Attract'IFS

    Depuis octobre, un marché colore la place des Jonquilles - fs

    « Depuis le mois d'octobre, un second marché a été créé à Ifs, dans le quartier de la Plaine. Situé sur la place des Jonquilles, il complète l'offre de services que proposent les commerces du nord de la ville. En phase d'essai dans un premier temps, il a officiellement été validé au dernier conseil municipal. Une nouvelle qui ravit les clients, déjà fidèles à ce nouveau lieu de rassemblement.

    La municipalité a lancé ce marché dans le cadre des travaux de requalification de la Plaine. Dans une volonté de diversification de l'offre marchande et de dynamisation du quartier, le marché a été inauguré vendredi 19 octobre. Sur la place récemment rénovée, près des petites halles, il est situé dans le cœur du quartier. Il s'ajoute aux différents commerces déjà en place dans le quartier : boucherie, tabac, presse, pharmacie, coiffure et esthétique.

    Priorité aux commerces alimentaires

    Le conseil consultatif de la Plaine, à l'origine de ce projet, a donné la priorité aux commerces alimentaires, sur la demande des citoyens ifois. Deux, trois, et maintenant quatre commerçants. Arrivés progressivement, ils répondent présent au rendez-vous toutes les semaines.

    Petit à petit, les services se multiplient et se diversifient. Une marchande de poissons et crustacés et un primeur, pionniers du marché se réjouissent du succès du marché. « Le vendredi, mon étale de poissons et crustacés est toujours vide en fin de matinée », explique la poissonnière.

    Gilbert, qui s'est installé récemment, est spécialiste en gâteaux, confitures et miel. « J'ai déjà mes habitués », confie-t-il. L'offre est en pleine éclosion sur la place des Jonquilles. Deux commerçants de plus s'ajouteront aux services que propose le marché à partir de vendredi prochain. « Même si leur présence reste encore à confirmer, un crémier et un vendeur de plats préparés de type couscous sont attendus », confie Stéphane Chonore, employé à la municipalité.

    Du côté des clients, les retours sont également positifs. « Nous sommes satisfaits, d'ailleurs nous espérons que la municipalité développera les services », révèle une Ifoise. Ce nouveau marché, en pleine éclosion, semble avoir de l'avenir.

    Tous les vendredis, de 8 h à 13 h, marché d'Ifs-Plaine, place des Jonquilles. »

     


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  • Article et photo extraits du site Ouest-France du 5 octobre 2012 :

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Une-passerelle-pour-relier-la-Plaine-et-la-foret-_14341-avd-20121005-63731001_actuLocale.Htm

    Une passerelle pour relier la Plaine et la forêt - Ifs

    « La ville d'Ifs va démarrer, début 2013, la construction d'une passerelle pour piétons et cyclistes au-dessus du périphérique sud de Caen. Cet ouvrage d'art permettra de relier le nord et le sud de la commune et de « rapprocher ainsi des quartiers cisaillés » par la saignée de la 2x2 voies, indique Jean-Paul Gauchard, maire (divers gauche) d'Ifs.

    L'idée : donner à tous les Ifois l'opportunité de profiter de la forêt d'Ifs, qui vient de fêter ses 20 ans. « Cette forêt, c'est notre joyau », souligne Jean-Paul Gauchard. La passerelle s'élancera au bout du chemin piétons-vélos qui serpente entre l'IUT, le restaurant universitaire et la crèche. Coût du chantier : 800 000 €, cofinancés par la Région (39 %), la ville d'Ifs (21 %), les fonds européens Feder (30 %) et l'Agence nationale pour le renouvellement urbain (10 %).

    Au-delà d'Ifs, l'idée est bien d'étendre le maillage de pistes cyclables et cheminements piétons dans ce secteur, en connectant la passerelle et la forêt au réseau cyclable de la ville de Caen. Ce qui aurait un double avantage : faire bénéficier les Caennais de la forêt, mais aussi rapprocher les Ifois de la Plaine de jeux, cette enclave caennaise sur le territoire d'Ifs : « Cet espace qui regroupe terrains de rugby, bicross ou base-ball appartient à la ville de Caen mais se trouve sur le territoire d'Ifs », précise Jean-Paul Gauchard. » A. L. (Ouest-France)

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    Précisions sur tendanceouest du 11/19/2012 :

    http://www.tendanceouest.com/caen/actualite-42232-une-future-passerelle-sur-peripherique-pour-pietons-et-cyclistes.html

    "Le 24 septembre, le conseil municipal de Ifs a validé l’installation d’une passerelle piétons-cycles et la création d’une liaison douce, destinées à franchir le boulevard périphérique sud de Caen.

    Cette opération sera dirigée par le cabinet de maîtrise d’œuvre Sce et Alain Montois, architecte. La passerelle partira de la rue Antoine Tchekhov, dans le quartier du Hoguet où se trouvent l’IUT et le restaurant universitaire, pour rejoindre la forêt d’Ifs, de l’autre côté. Le coût du projet est estimé à 656.000 euros."

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    Article et photo publiés sur le site libertebonhomme.fr du 11 avril 2013 :

    http://www.libertebonhomme.fr/2013/04/11/la-ville-va-investir-4-millions-deuros-en-2013/

    La ville va investir 4 millions d'euros en 2013

    "Le conseil municipal était réuni la semaine dernière avec de nombreux sujets au programme. Outre la réforme des rythmes scolaires, le conseil s’est penché sur le budget.
    Après l’acceptation du compte administratif 2012 (7 abstentions), les élus se sont penchés sur le budget primitif 2013. “Les dotations se stabilisent cette année, avant qu’une baisse n’intervienne en 2014 et 2015″, explique le maire Jean-Paul Gauchard (Divers gauche).

    Pas de hausse des taux à Ifs 

    La municipalité a présenté un budget total de 20,1 millions d’euros dont 11,4 millions d’euros de fonctionnement. Cette année encore, les élus ont fait le choix de ne pas augmenter les taux de fiscalité de la commune : à savoir sur la taxe d’habitation, le foncier bâti et le foncier non bâti. Cela ne signifie pas pour autant qu’il n’y aura pas une hausse d’impôt des ménages. “Alors que nos taux restent identiques, la base locative est majorée de 1,8 %, ce qui est indépendant de notre volonté”, reprend Jean-Paul Gauchard.
    Pour l’édile ifois, la ville de 11.000 habitants propose “un budget volontariste en gardant l’idée de service public”.
    Au niveau des investissements, la Ville d’Ifs passe de 3,5 en 2012 à 4 millions d’euros en 2013. “On doit s’adapter aux usages et aux normes, ainsi que pallier le déficit notable d’entretien des mandatures précédentes”, glisse Jean-Paul Gauchard.

    Une passerelle au-dessus du périphérique, un skate-park… 

    Projet phare de l’année, la passerelle interquartiers qui chevauchera le périphérique sud pour relier le campus 3 à la forêt d’Ifs a un coût de 980.000 euros. “Mais avec les subventions perçues, seulement 20 % du montant sera à la charge de la ville”, se félicite le maire.
    Autres investissements prévus : le skate-park, initié par le conseil municipal des jeunes, pour 165.000 euros ; le réaménagement des espaces verts et des aires de jeu pour 150.000 euros ; ainsi que des travaux dans les écoles pour 84.000 euros et la réhabilitation de l’espace Prévert pour 30.000 euros.
    Plus d’un quart de l’investissement de l’année concerne d’importants travaux de voirie pour une somme d’1,2 million d’euros : rue de Bretagne (420.000 euros), rue du Bout-Guesdon (350.000 euros), chemin aux Boeufs (120.000 euros), parking Jean-Villar (40.000 euros) et rénovation régulière des voies (250.000 euros).

    Le futur centre socioculturel au cœur du débat

    Pour le chef du groupe PS Arnaud Fontaine, “ces 4 millions peuvent paraître importants, mais cela concerne l’entretien du réseau. C’est dommage de ne pas avoir engagé les travaux du centre socioculturel. Quelles empreintes va-t-on laisser ?”, s’interroge-t-il.
    Le maire Jean-Paul Gauchard lui répond qu’il aurait “tant aimé qu’il y ait une bonne gestion de l’équipement public des équipes précédentes. Bâtir, c’est une chose, mais si on ne se préoccupe pas du coût de fonctionnement…”, tout en ajoutant que le centre socioculturel n’était pas un projet tombé à l’eau. “Ce projet est toujours le nôtre, mais nous avons une vision à long terme. Tout ne peut pas se réaliser en six ans”.
    “Vous avez une ville en bon état. Prétendre qu’elle est en déliquescence totale n’est pas très honnête”, reprend Arnaud Fontaine. “Mais c’est une réalité”, rétorque le maire-adjoint Alain Roger.
    Le budget primitif a finalement été accepté par le conseil municipal, avec six abstentions et une voix contre."

    Grégory MAUCORPS - libertebonhomme.fr

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    Article et photo extraits du site Ouest-France du vendredi 4 octobre 2013 :

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Au-dessus-du-periph-sud-debut-des-travaux-pour-la-passerelle-_14623-avd-20131004-66065316_actuLocale.Htm

    Au-dessus du périph sud : début des travaux pour la passerelle - Ifs

         « Quelques mètres après la sortie n° 12 du périph, un balisage indique la présence d'un chantier. Mais sur la voie rapide, pas d'engin à l'horizon. Ces derniers se trouvent à quelques dizaines de mètres de hauteur, derrière le talus de terre qui borde le périph. « Les travaux de la passerelle commencent, côté forêt pour le moment », commente Gérard Dumaine, maire adjoint chargé des travaux.

    Conçue par l'architecte Alain Montois, cette passerelle, à la forme galbée, reliera le quartier de l'IUT (Ifs Plaine) à la forêt, et plus largement à Ifs Bourg. Destinée aux piétons et aux cyclistes, elle s'inscrit dans le prolongement de la promenade Stéphane-Hessel (voie douce située entre l'IUT et le restaurant universitaire). « Mais elle est perpendiculaire au périph et non construite dans l'alignement de cette promenade, cela aurait été trop onéreux », détaille l'élu.

    Les 45 arbres abattus seront replantés

    D'octobre à décembre, l'entreprise Marc SA réalise les deux culées, situées de part et d'autre du périph, et sur lesquelles sera posée en une nuit (fin décembre) la passerelle. Mais elle ouvrira au public au printemps. Ce nouvel aménagement urbain ne va pas sans érafler le poumon vert de l'agglomération caennaise. Dans la zone comprise entre les jeux pour enfants et les arbres du jumelage, « 45 arbres (peupliers, merisiers...) ont été abattus. 25 seront broyés et le broyât obtenu sera utilisé par la ville pour le paillage », explique Alain Gruénais, maire adjoint chargé du développement durable. Et la partie qui longe le périphérique, côté IUT, va quant à elle être amputée « de 5 arbres. Sur cette zone se trouvent de jeunes arbres de 2 ans environ, ils vont être récupérés et replantés dans la forêt ». Cette place libérée pour accueillir la passerelle s'accompagne d'une compensation. « On reste fidèle à la charte de l'environnement (adoptée en début d'année) qui veut qu'un arbre abattu doit être compensé par une plantation d'un nouvel arbre sur la ville, rassure l'élu en charge de l'environnement. Dans la partie sud de la forêt, au niveau de l'ancien couloir des lignes électriques, le chantier Elan's (chantier d'insertion) a planté une centaine d'arbres. »


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  • Anecdot'IFS, le Bonhomme Normand de 1881 à 1884Les faits divers, glanés dans le journal Le Bonhomme normand qui paraissait avant-guerre, rapportent de petits larcins ou des accidents révélateurs de leur époque...

    Les archives des journaux le Bonhomme normand sont consultables sur le site : http://www.normannia.info/

    « Le 19 novembre 1865, Emile Alliot et Alfred Crevel lancent le premier numéro à 500 exemplaires du Bonhomme normand - Journal spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados. L'hebdomadaire s'inspire du Petit journal créé par Moïse Millaud à Paris en 1863, bon marché, et destiné avant tout aux couches populaires. Le Bonhomme normand, vendu 10 centimes au numéro connaît un succès grandissant. Pour la première fois, un journal pénètre largement dans les campagnes. D'abord diffusé dans le Calvados, les ventes s'étendent dans les départements limitrophes, surtout dans l'Orne où une édition particulière sera mise en place en 1869. Il est appelé à devenir le journal le plus répandu de toute la région, grâce à des tirages sans commune mesure avec ses concurrents, position qu'il conservera jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale. Paraît de novembre 1865 à mai 1944 ; Hebdomadaire ; Editeur/imprimeur : Librairie Emile Alliot à Caen ; Diffusion : Calvados, Orne, Manche." 

    Dans le Bonhomme normand du 8 janvier 1881, page 3 :

    « VENDS une pièce de terre située au bord de !a route de Falaise, en face le milieu des champs de manœuvre — S'adresser à M. Edouard Leroy à Ifs. »*

    Dans le Bonhomme normand du 27 mai 1881, page 2 dans la Chronique judiciaire, police correctionnelle de Caen :

    —Justine Briars, femme Catherine, 39ans. cultivatrice à Ifs, falsification de lait, 3 jours d'emprisonnement et 10 affiches.

    — Honorine Dumesnil, femme Barette 50 ans, cultivatrice à Ifs, falsification de lait, 3 jours d'emprisonnement et 10 affiches.

    Dans le Bonhomme normand du 24 juin 1881, page 1 :

    « UN CONSCRIT MALADROIT. — Un conscrit de là commune d'Ifs avait grande envie de ne pas aller au service. Son père lui promit de le faire exempter, et, samedi, le conscrit en question se présentait devant le conseil de révision de Caen avec deux doigts mutilés. Procès-verbal a été dressé et envoyé au procureur de la République. Celte mutilation n'aura d'autre résultat que de faire envoyer le conscrit aux compagnies disciplinaires. »

    Dans le Bonhomme normand du 22 juillet 1881, page 2 :

    « ACQUITTEMENT. — Le mois dernier, nous avons dit que le conseil de révision de Caen avait fait dresser procès-verbal contre un conscrit d'Ifs, le nommé Lemarinier, qui se présentait devant lui avec deux doigts mutilés. Lemarinier a comparu samedi en police correctionnelle et a été acquitté, l'accusation n'ayant pu établir qu'il s'était mutilé volontairement. »

    Dans le Bonhomme normand du 22 juillet 1881, page 1 :

    « RESPECT A LA MORT. Lundi, à Ifs avait lieu une inhumation. Il a fallu descendre et remonter deux fois le cercueil, la fosse étant trop étroite. Des faits de ce genre se sont déjà produits à Ifs. Ils sont des plus pénibles pour les familles, et le maire, qui a la police du cimetière, ne saurait les ignorer, car il assistait, dit-on à cet enterrement en qualité de maître-chantre. »

    Dans le Bonhomme normand du 7 octobre 1881, page 3 :

    « Il a été trouvé, le dimanche 25 septembre, une vieille jument, noire, à Ifs, près Caen. Elle est chez Guillard boulanger dans la même commune. »

    Dans le Bonhomme normand du 3 décembre 1881, page 2 dans la Chronique judiciaire, police correctionnelle de Caen :

    « Auguste Lemoine, 61 ans, cultivateur a Ifs, vol de récoltes et bris de clôtures, 8 jours. »

    Dans le Bonhomme normand du 3 février 1882, page 4 :

    « Etude de Me Duchemin, notaire à Caen, place Saint-Sauveur, 8.

    ADJUDICATION

    Le lundi 20 février 1882, à 1 heure après-midi, de 9 pièces de terre en labour, contenant en totalité 2 hectares 71 ares 36 centiares.

    Et de 2 corps de bâtiments avec jardin ; le tout situé à Ifs, près Caen. S'adresser, pour visiter, à M. Eudes, instituteur à Ifs, tous les jours, de 4 à 5 heures du soir, excepté le jeudi, et pour traiter : à M. Eudes ; à M. Noël, ancien principal clerc de notaire à Caen, rue du Tour-de-Terre, 2, et à M Duchemin. »

    Dans le Bonhomme normand du 17 février 1882, page 4 :

    « Etude de MeBoujon, huissier à Caen. Vente sur saisie

    Dimanche 19 février 1882, à 8 heures du matin, A IFS, II sera vendu : Batterie de cuisine, bas-buffet, armoire, tables, charrette, banneau, équipage, 1 cheval, 1 chevreau, barriques, etc. Au comptant. »

    Dans le Bonhomme normand du 16 juin 1882, page 3 :

    « A louer pour le jour St-Michel 1882, dix pièces en labour, huit à Ifs, contenant 4 hectares 51 ares et deux à Allemagne, contenant 55 ares 31 centiares. »

    Dans le Bonhomme normand du 4 août 1882, page 4 :

    « Etude de Me Lefort, avoué à Caen : Vente de divers immeubles

    Situés à Ifs, route de Falaise, au lieu dit les Quatre-Colonnes. Appartenant à M. le comte de la Villeurnoy. Adjudication devant le tribunal civil de Caen, le vendredi 25 août 1882, à midi.

    Lot unique une grande propriété, sise à Ifs, composée de un grand corps de bâtiment, construit en pierre et moellon, couvert en tuiles, composé de cuisine, salles, caveau, chambres au-dessus et greniers, à la suite, une grande cour dans laquelle se trouvent construits remises et hangar.

    Un grand jardin planté d'arbres fruitiers.

    Cette propriété est entourée de murs de tous côté, possède pompe et réservoirs et présente comme ouverture à la façade une grande porte cochère, deux petites portes au rez-de-chaussée et une croisée ; au 1erétage, 4 croisées ; du côté du sieur Hamon, deux autres croisées. Il existe encore une porte donnant sur la campagne, au bout de la propriété, qui contient en totalité environ 30 ares. Mise à prix, 3,000 fr. S'adresser, pour tous renseignements, à Me Lefort. »

    Dans le Bonhomme normand du 18 août 1882, page 2 :

    « LES VOLEURS DE CHEVAUX. — Dans la nuit de samedi à dimanche, des voleurs ont enlevé, dans un herbage, deux chevaux de prix, à M. Delaville, éleveur à BrettevlIle-sur-Odon. — Dans la même nuit, un cheval de cinq ans et un de deux ans ont été pris au piquet dans un champ de fa commune d'Ifs. L'un appartient à M. Onfroy, cultivateur ; l'autre à M. Briard, boulanger. — Le voleur a été arrêté mercredi à Lisieux ; c'est un nommé Louis Langlois, 52 ans, de Bray-la-Campagne ; il était suivi des deux chevaux volés à Ifs. »

    Dans le Bonhomme normand du 10 novembre 1882, page 4 :

    « Etude de Me Robillard, huissier à Caen, place St-Sauveur. 32.

    VENTE de Mobilier et de Grains à IFS, au domicile de M. Charles

    Bouillon, cultivateur le dimanche 19 novembre à midi précis Me Robillard procédera à la vente aux enchères publiques. Requête de M. le marquis de Reverseaux de Rouvray, des objets ci-après, garnissant la ferme exploitée par ledit sieur Bouillon.

    Mobilier vif : un cheval entier, hors d'aide. Un cheval hongre, âgé de 4 ans. Un cheval entier, âgé. 5 bonnes vaches à lait. Une génisse de l'année. Un mouton. 2 belles truies. 6 porcs gras. 4 porcs âgés de 6 mois

    9 porcs de lait.

    Mobilier mort : Une charrette à grains, un banneau, une carriole, deux équipages de limon complets, 9 colliers de charrue et de charrette, charrues, herses, un crible, un grand van, 3 tonneaux, 2 barriques, batterie de cuisine, vaisselle, chaises, tables, commodes, 2 armoires en chêne, litige et bardes.

    Grains : Environ 3.000 gerbes de blé. Environ 2.500 gerbes d'avoine.

    Environ 1.500 gerbes d'orge. Et une quantité d'aubes objets.

    Au comptant. »

    Dans le Bonhomme normand du 29 décembre 1882, page 3 :

    « A louer présentement plusieurs pièces de terre labourables sises à Ifs

    Dans la plaine dite le long du chemin de Caen et le long du chemin de Cormelles à Allemagne, d'une contenance réunie d'environ 4 hect. 50 ares. S'adresser à M. Déprit, agréé, rue aux Namps, 10, à Caen. »

    Dans le Bonhomme normand du 16 mars 1883, page 2 dans la Chronique judiciaire, police correctionnelle de Caen :

    « Charles Poirier, 43 ans, marchand de volailles à Ifs, abus de confiance, 10 jours d'emprisonnement. »

    Dans le Bonhomme normand du 17 août 1883, page 4 :

    « Etude de MeLe Gouix, huissier à Caen

    Vente de 65 ares d'orge ; Pièce de la Haie-Moiras, et de 55 ares d'avoine d'été, pièce des Orailles, à Ifs. Le dimanche 19 août

    1883, à 3 h. d'après-midi. Réunion à la Haie-Moiras ; Crédit. »

    Dans le Bonhomme normand du 5 octobre 1883, page 2 :

    « INCENDIES. Ont été brûlés : (…)

    1 879 gerbes de blé appartenant au sieur Auguste Lemarinier, cultivateur à Ifs. Perte : 1.500 fr. Assuré. »

    Dans le Bonhomme normand du 23 novembre 1883, page 1 :

    « UN FRAUDEUR INCORRIGIBLE — Le sieur Constant Macé, qui habite Ifs, est un fraudeur enragé. Son frère et lui ont déjà payé à l'Etat plus de 30.000. fr. d'amende, sans compter les frais — Un soir d'août, Macé essayait d'entrer en fraude un baril d'eau-de-vie de-cidre destiné à M.Vidal, débitant, rue Branville, à Caen ; mais il fut aperçu par un employé d'octroi qui se mit à sa poursuite et le reconnut. Constant Macé et la dame Vidal ont été condamnés solidairement à 5.400 fr, d'amende. Macé était également accusé de voies de fait ; il a été acquitté sur ce chef. »


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